vendredi 28 février 2020


LE PAPE FRANCOIS ET LA COLERE (LEGITIME)  

DES CATHOLIQUES



(Part 1)   

 Le Pape François donne lieu à un grand nombre de controverses, et d'immenses déceptions pour de nombreux Catholiques. Il déplaît à plus d'un titre, et j'ose dire même, à juste titre. Il suffit de voir avec quel plaisir il est loué par beaucoup de détracteurs de l'Eglise... (les buts convergent, semble-t-il...) Pourtant, j'ai peine de lire et d'entendre tout l'irrespect que même les Catholiques se permettent envers lui.   

Oui, j'aimerais voir et entendre dans les commentaires un plus grand respect pour le Pape François, notamment quand il s'agit de le nommer : il semble que même des fidèles Catholiques qui paraissent pourtant impliqués et praticants, prennent un malin plaisir à l'appeler par son nom du monde et surtout sans son titre religieux - histoire de bien lui montrer qu'on n'a guère de respect pour lui dans son rôle de Pape... ou que sais-je pour quelle raison encore... Cette mode nouvelle - ou relativement nouvelle, car elle dure maintenant depuis une quinzaine d'années au moins - est apparue, si je ne m'abuse, à la mort du Pape Jean-Paul II, qui en a fait les frais (posthumes) le premier, comme si on voulait par là faire un clin d'oeil assez malin à son successeur, et lui faire savoir, avec un peu d'avance, qu'on allait lui en faire BAVER... Ce qui n'a pas manqué, de la part des médias, principalement, et de toutes sortes d'ennemis passifs ou virulents de l'Eglise, lesquels d'ailleurs n'en ont pas fait l'apanage du Saint-Père, mais ont institué cette pratique sournoisement dénigrante en une sorte de tradition de l'écran public, l'étendant à tous les niveaux de la hiérarchie catholique, lorsqu'un prélat ou un prêtre s'exprime sur les ondes - Cette nouvelle pratique est-elle devenue « obligée » ? Je le crains, pour aujourd'hui, dans les médias et de la part des journalistes... - De tous les détracteurs passifs ou virulents de l'Eglise, je ne m'attends guère à mieux... c'est le Christ, bien sûr, qui en est visé... : c'est une manière de défroquer les prêtres sans y paraître ; on vous montre par là qu'on n'a que faire de reconnaître votre religion ; si vous y êtes consacré, nous on ne sait pas ce que c'est... ! : des 2 Sceaux, on ne reconnaît que celui de la République...

Boule de neige :   

Cependant, cette attitude s'est rapidement généralisée aux personnes qui postent des commentaires. De la part de personnes privées, elle est totalement volontaire, selon leur désir de suivre une mode qui doit paraître « cool » à plus d'un, ou tout au moins - on le détecte parfois très facilement - à laisser s'exprimer à travers les mots une certaine hargne mal contenue envers l'Eglise Catholique et/ou le Christ.   

Chose plus étrange, cette fièvre a pris des Catholiques en mal de politique, qui, alors encouragés à manifester eux-aussi de la sorte contre Sa Sainteté Benoît XVI, à l'époque, leurs sentiments plus progressistes que ceux connus de ce bon Pape, ont emboîté le pas - ou la plume - à cette campagne larvée de décrédibilisation. Et Ratzinger par ci, et Ratzinger par là... C'est une manière de dire : « Nous ne vous aimons pas beaucoup, parce que vous n'avez pas les mêmes idées que nous !... » - On est toujours le bien-pensant de quelqu'un... - Cela, c'était pour les "tradis". Aujourd'hui, c'est à "François" de nous mettre en froid...

Schème (??) : 

Schème récurrent d'un plan plus large, aujourd'hui, le plis est pris, et c'est tout juste si le mot « Pape » n'a pas été effacé du dictionnaire - en tout cas pour ce qui concerne les Papes Catholiques, car on utilisera peut-être toujours volontiers les expressions dérivées et abstraites : le pape de ceci... le pape de cela... tandis que sur les lèvres occidentales, la Sainteté ne sied plus guère qu'au Dalaï Lama : mais pour combien de temps encore... ? Pour le successeur de Pierre, ça semble plutôt « râpé »... Son Aura ne brille plus guère, et le Parfum des Roses Mariales peine à s'exhaler sous nos latitudes. Le problème n'est pas nouveau, loin de là, mais il s'étend, se creuse en profondeur : les allusions et les références aux valeurs chrétiennes disparaissent de nos vies quotidiennes et de nos hauts lieux de l'intelligence... 

Le Larousse, par exemple, qui se veut d'avant-garde, a déjà catapulté les mots grossiers au rang d'acceptables en leur ôtant, justement, la note de « grossier » ou de « vulgaire », et en la remplaçant par « familier », avec l'assentiment de nos 40 honorables érudits... C'est vrai qu'autour de la table familiale, certains pourraient y trouver du pittoresque ; et i' f'rait beau voir que nos chérubins se rendent compte quand ils commencent à être grossiers. On n'va pas les culpabiliser, tout de même : ils pourraient en être traumatisés, P... Notez que je ne suis pas plus prude que tout un chacun, et je ne prétends pas en la matière être le plus bel exemple : quand je pense à quelque chose ou quelqu'un qui me fâche, ma langue n'est pas toujours le plus impeccablement châtiée... Cependant, spécimen d'une génération vieillissante, quand j'use parfois d'un mot vulgaire, je le fais « volontairement », si tant est que dans le fond, cela fasse une différence ; car j'ose, à tort ou à raison, penser être une chance, lorsque je m'exprime de manière grossière, d'au moins savoir que je le suis... Ne serait-ce que pour tenter de m'en corriger...         

Quant à cet empêchement que l'on fait aux Papes de porter en public et de recevoir POUR SON NOM l'honneur de Celui qu'ils révèlent, qu'importe qu'ils soient Vicaires : les Papes ne seraient bientôt plus des Pères, et encore moins des saints ; or, pour les patrons de la Belle Langue Française et leurs gérants du dictionnaire, ce n'est pas là une grande affaire, surtout en ce qui concerne « Ratzinger » : tout ceci pour dire que d'ici moins de 40 ans, ils prévoient probablement de l'en éjecter tout simplement...  


Le cas n'est de loin pas isolé : parmi d'autres effacements, sans doute, il a été fait de même, par exemple, avec l'expression : « Au diable Vauvert... » (souvent déformée en « diable vert... », la version que j'ai entendue de cette expression pendant toute mon enfance. Mais bref...). En effet, dans une ancienne édition du Petit Robert, j'ai lu par hasard que cette expression vient en réalité d'un très ancien monastère, La Chartreuse de Paris, qui fut construit en 1257, pour des Chartreux à qui le Roi Louis IX Le Pieux (Saint-Louis) avait donné le terrain de Vauvert. Très éloigné, à cette époque-là, des routes principales et de toute civilisation, perdu en pleine nature, le lieu est aujourd'hui en plein coeur de Paris, mais l'expression exprimant un très grand éloignement a perduré jusqu'à nos jours, quoique déformée par beaucoup d'entre nous. Eh bien, dans une version plus récente du Petit Robert, j'ai un jour constaté que cette explication sur l'origine de cette expression n'y était plus : pourquoi donc nos jeunes auraient-ils besoin de connaître leurs racines, les sources de leur culture et de la langue qu'ils parlent ??! C'est inutile, voyons ! Il vaut mieux l'en effacer, cacher aux jeunes générations l'origine « honteusement chrétienne » de la culture qui les a vus naître. En en supprimant les références historiques du langage, on fait justement cela...    

Ce processus, en cours de longue date déjà, est la « DECULTURATION systématique de notre Société européenne judéo-chrétienne », car ce phénomène n'est pas circoncis au contexte des dictionnaires, dans lequel il est toutefois aisément constatable, mais il se rencontre dans tous les domaines de notre vie Sociale et au niveau de toutes les couches de la population d'une manière différenciée qui s'adapte et correspond spécifiquement à chacune d'elles. Les médias en sont depuis belle lurette les vecteurs privilégiés...

Conclusion :   

Pour revenir au Pape François, j'aimerais dire ceci  :   

(Part 2)  

 Je suis en accord avec beaucoup de critiques qui lui sont faites : le Pape François est déroutant, surtout pour le Peuple Chrétien.    

Cependant, même s'il semble qu'il s'entende mieux avec les détracteurs de Notre-Mère l'Eglise, y compris les plus virulents, qu'avec ses propres ouailles, et surtout sa garde traditionnelle qui veille à n'en pas corrompre ni bouleverser les fondements ; même s'il déplaît à un tel ou un tel, et que son nom du monde permet une profusion de quolibets tous plus futés les uns que les autres (dégringoglio, embroglio e tutti quanti...) ; même si son comportement invalide parfois ou très souvent les Ecritures et semble reléguer au dernier rang le Christ à qui il a fait allégeance ; comme tous les autres prélats et les prêtres, le Pape François est néanmoins serviteur du Christ, et, au titre de son Engagement, en revêt même la Nature, afin de pouvoir nous la partager, nous la Prodiguer en abondance - essentiellement à travers le PARDON, d'ailleurs, au Prix d'Une Vie gratuitement offerte pour nous, pauvres pécheurs... et qui en avons tant besoin : la Parole de Miséricorde que chaque prêtre prodigue en Confession... Sa Robe en atteste, quel que soit l'état spirituel de l'homme qui la porte, et quelle que soit son intention envers le Christ, Son Peuple et Son Eglise, à qui il est redevable de TOUT et surtout de La servir en toute intégrité et selon l'Absolue Volonté de Dieu, pour Son Bénéfice, qui est de Lui rattacher des Ames... Dans quelle mesure l'homme est fidèle à son Engagement et sérieux ou loyal dans la manière qu'il le conduit, cela n'amoindrit pas ni ne fait disparaître le Christ qu'il porte sur lui, et dont LE NOM QUI EST AU-DESSUS DE TOUT NOM est crié par chaque Fibre de cette Robe.   

Pour nous, Catholiques, il doit être et demeurer à jamais le Saint-Père, et ne saurait en déchoir dans notre estime, même s'il est une bonne chose de distinguer l'homme du Christ, et de ne pas les confondre ; mais justement, c'est à cause de cela, qu'il nous faut respecter la Robe, même si l'homme qui la porte ne nous en semble pas digne.   

Sans cela, c'est nous-mêmes qui détruisons l'Eglise et chassons Jésus-Christ du Domaine de la Terre, des Sphères matérielles du Royaume.  


Prions pour les Prêtres et pour le Saint-Père, c'est primordial ; mais souvenons-nous également qu'ils sont LES SEULS SUR LA TERRE AUJOURD'HUI A PRONONCER DE FACTO LE PARDON DU CHRIST dont nous avons tant besoin, et qu'Il prodiguait abondamment lorsqu'Il était Lui-même auprès des Hommes dans Sa Chair Divine.   

Manquer de révérence envers la Robe parce que l'homme qui la porte nous déplaît ne rabaisse pas l'homme, dont cela ne changera pas la condition, quelle qu'elle soit, et que Dieu seul connaît : mais c'est faire OFFENSE AU CHRIST LUI-MEME. L'homme déplaît peut-être aussi à Dieu, mais cela ne NOUS regarde pas : c'est et ce restera entre lui et Dieu, et il en répondra le moment venu, au jour du Jugement, ou même de SON JUGEMENT PARTICULIER : Dieu n'est jamais à court de Bien et de Justice... -   

Alors, le Pape François, Notre Saint-Père : Vicaire indigne, peut-être, mais Vicaire quand-même... ! L'outrance de l'un ne justifie pas l'outrage à l'Autre, Qui en réalité EST l'Un...   

Même si nous ne l'aimons pas, RESPECTONS SON HABIT : C'EST LE CHRIST !

Dans son rôle politique, excessivement «dirigé» par DES POUVOIRS POLITICO-FINANCIERS EXTERIEURS A L'EGLISE (ou s'ils sont à l'intérieur, ce sont des « infiltrés » à ne pas confondre avec l'Eglise Elle-même et ses prêtres), le Saint-Père, inconsciemment OU NON, est en réalité utilisé pour favoriser, sous des apparences de valeurs chrétiennes, l'expansion aux pays hors l'Europe de la 4e Bête de Daniel 7 : Schengen et sa puissance JURIDIQUE, qui a DEJA fait de nous des ESCLAVES DESTITUES DE LEURS DROITS FONDAMENTAUX - au contraire des apparences... Il est parfaitement vrai qu'il n'y a guère d'empathie humaine dans ce schème : en intégrant les ressortissants de tous les pays du monde, l' «Espace Schengen» se ménage en réalité à travers chacun d'eux un canal pour s'installer dans leurs pays : ce que la politique internationale ne peut pas espérer accomplir, la PUISSANCE JURIDIQUE INTERNATIONALE le permet ; elle l'a CONÇU, FABRIQUÉ, MODELÉ A SON IMAGE : celle d'une dictature IMPITOYABLE qui n'envisionne qu'une chose : la maîtrise totale du monde. Des conquêtes guerrières se révéleraient probablement trop destructrices, avec les moyens armés d'aujourd'hui, et détruiraient ce sur quoi Schengen veut dominer. Les moyens juridiques employés de pair avec la technologie, à laquelle tous les esclaves adhèrent (ou presque), sont une arme bien plus attrayante pour ces voudraient-bien-maîtres-du-monde... 


En y contribuant les poncifes chrétiens déformés de notre temps, qui omettent gravement la plus ténue notion de réversibilité (« La Liberté de chacun s'arrête là où commence celle des autres »,(L'évangélique Jean-Paul Sartre) ou « Fais aux autres ce que tu veux qu'ils te fassent » (Math.7:12), etc.) ; en délaissant plus que jamais le Devoir de Service Spirituel de l'Eglise que le Christ lui a confié : prodiguer le Pardon pour la Confession des Péchés, afin que le Sacrifice du Christ n'aie pas été souffert par Lui en vain ; en fermant les yeux sur la réalité de l'abandon par les chefs de ces pays de leurs responsabilités envers leurs peuples, ainsi que sur les conséquences qu'auront et qu'ont déjà sur ceux de l'Europe ces afflux de population continuels, voulus et maîtrisés, mais manifestement excessifs en rapport des moyens réels laissés par « les maîtres » aux caisses publiques des pays d'accueil ; en faisant tout cela et bien d'autres choses encore, le Pape François, Notre Saint-Père, se prête, à la légitimation de ce schème que la politique ne pourrait absolument pas parvenir à justifier !...   

Nous-aussi, nous fermons les yeux sur ce qu'est la 4e Bête de Daniel, qui nous exploite et nous asservit : mais parce qu'elle supplée encore, pour la plupart d'entre nous, à un certain confort propice à l'insouciance et à un doux endormissement au son de ses berceuses, nous n'y voyons pas tant d'inconvénient, voire même aucun inconvénient, et partout où nous le pouvons, nous collaborons activement à notre ENFERMEMENT.   

JURIDIQUE et TECHNOLOGIE : Le mariage de ces deux forces coercitives, dictatoriales, voilà le souffle, le sang, la force de la Bête, qui nous asservit, tandis que nous, nous l'approuvons et même, nous en redemandons !...   

(Mais cela est un sujet en soi, que j'espère avoir le temps, un jour de développer comme il faudrait...)   

Toujours est-il que même si le Pape François se fourvoie - ce dont, au 1er degré, je suis persuadée - d'une part, j'espère que Dieu fera encore miséricorde à Ses Créatures et ouvrira les yeux des hommes de pouvoir à temps pour réparer le réparable, mais encore, même si réparer les dégâts de cette politique d'asservissement, déjà visibles mais non-encore perçus par le grand nombre, devait s'avérer impossible, alors vis-à-vis du Saint-Père, j'aimerais partager avec mes Frères le message ci-dessous, afin que le Christ et Son Royaume Céleste sur Terre ne nous « passe pas sous le nez » avant que nous n'y ayons droit.

MMEMJ

dimanche 27 octobre 2019


LE CONTRE-EVANGILE : MARIE CALOMNIEE
et les
PRECHEURS de la NEGATION



Cet article est un réaction à une video dans laquelle, à l'aide du sens tronqué des Ecritures Saintes, les auteurs s'acharnent sur le  Dogme millénaire de Marie, qu'ils tentent de démonter avec une affligeante mais très-bien-pensante ignorance...    

Impressionnante prestation de l'Ignorance !   

Que Dieu vous pardonne, Madame, Messieurs, et qu'Il ait pitié de votre ignorance des choses Saintes et Sacrées, en même temps que vous portez le Nom de Dieu et du Christ sur vos lèvres. Que de mesquineries proférées contre le Roi des Rois, Roi de l'Univers, qui a créé les Mondes de Splendeur autant que notre dimension de Ténèbres froides et brumeuse, lorsque, tels des handicapés spirituels, nous les parcourons sans la Conscience de Sa Grandeur, laquelle nous rabaissons pitoyablement à la mesure de notre piètre dimension et compréhension humaines, étriquées, endormies aussi et surtout OBTUES, dans une attitude de chèvres rebelles et entêtées. Il savait que cela DEVAIT ETRE : Il l'a dit Lui-Même de Lui-Même. Il n'en est certes pas surpris, mais sans aucun doute profondément peiné (pour un peuple qui ouvertement le professe, surtout...).   

Petite analogie : 

Lorsque dans un ordinateur, un logiciel n'est pas ; lorsqu'il manque à la conception interne de la machine, on pourra toujours essayer autant qu'on le veut de le faire lire par la machine pour l'en faire analyser : elle ne le pourra pas. Tout ce qu'elle saura affirmer est que tel ou tel logiciel N'EXISTE PAS - et en tous les cas, elle sera TOTALEMENT INCAPABLE de faire l'analyse de son contenu, et encore moins une analyse "pertinente", s'il-vous-plaît, cela tombe sous le plus élémentaire bon sens : ceci est une logique absolument basique, non ?  

Par contre, quand bien-même l’ordinateur ne connaît pas CE LOGICIEL, à l'aide d'un AUTRE logiciel, même plus réduit et borné, dans et par le même ordinateur, on pourra toutefois sans difficulté PARLER du logiciel plus complet et de son contenu que l’on ne connaît pourtant pas  : mais bien évidemment, comme l'on n'aura pas PU en approcher pour soi-même le véritable contenu, du fait qu'on ne le CONNAIT PAS et qu'on n'a PAS PU ou que l'on a REFUSE d'en faire l'expérience, alors on est condamné à en faire un compte-rendu déficient, et à en dire, au fond, de belles inepties, qui n'aideront en tous cas pas les auditeurs ou les lecteurs à s'en faire une idée juste et exacte, s'ils ne vérifient pas pour eux-même tout ce qu'il est à vérifier sur ce logiciel rejeté et son contenu, ainsi que toutes ses possibilités. Tant pis pour ceux qui croient sans la soumettre à examen et prennent pour leur l'opinion toute faite d'autrui. Ils en resteront là, tout simplement ; et oui, comme vous le dites, Madame, le logiciel, soit en l'occurrence, dans notre analogie, Marie, reine des Anges, qui intercède avec une Bonté sans limite pour les pécheurs auprès de son Fils - et que nous n' « ADORONS » PAS, malgré les dires biaisés et les mauvaises langues des détracteurs de l'Eglise - Marie ne peut alors RIEN FAIRE POUR VOUS, puisque vous ne le voulez pas : cela tombe sous le sens aussi... Toutefois, il ne dépend que de vous, qu'il en soit autrement. 

Démolir dans la conscience d'autrui une Vérité utile autant que Sacrée, empêchera que ceux-ci ne puissent en bénéficier eux-aussi, mais cela n'empêchera pas, si vous parvenez à en convenir (je vous le souhaite), que cette Vérité ne DEMEURE UNE VERITE, et toujours aussi VRAIE pour ceux qui ont incliné l'oreille et le coeur à se laisser atteindre par elle. Votre scepticisme et votre active contre-évangélisation n'empêcheront pas Marie d'avoir été et de continuer d'être ce que Dieu a intentionné qu'elle soit, et tout au plus ne pourrez-vous qu'en AMOINDRIR L'IMAGE pour ceux qui vous écouteront, pour la faire correspondre à celle atrophiée, dévaluée, qui est la vôtre propre.   

Tant pis pour ceux qui vous croiront, et qui auront le coeur ouvert pour y laisser entrer le contre-évangile des précheurs de la Négation... !   

Si nous n' ADORONS PAS MARIE, il n'en demeure pas moins que, comme le Christ, Elle désire nous aider à cheminer dans les meilleures conditions possibles vers notre Sainteté, notre PURETE TOTALE que Dieu attend - probablement avec impatience, puisqu'Il attend depuis des millénaires - pour pouvoir nous EPOUSER (Esaïe) (comme Il l'a pu Marie), et nous rattacher à Lui, nous rendre propres à être en Sa Présence, afin que Lui, Le Père, l'ANCIEN DES JOURS, puisse, sans nous détruire, nous faire entrer dans Sa Présence REELLE, ENTIERE, c'est-à-dire MATERIELLE (Daniel 7:9)

N'est-ce pas ce que, en tant que Chrétienne (évangélique, je suppose), vous attendez aussi ? Cela ne pourra être QUE SI NOUS SOMMES TOUT PURS !!

Le Christ est ROI, Il JUGE, vous le savez : Il ne le peut que parce qu'Il est ENTIER, LE TOUT, tel que Son Père. Marie, Elle, est Sa Miséricorde seulement : c'est pourquoi elle intercède pour nous auprès de Lui et NE JUGE PAS. Elle ne fait que nous aimer comme une Mère. Jésus n'est pas le gentil mollachu qu'on a voulu faire de Lui, qui pardonne tout et a oublié quel est le But SUPREME du Plan de Dieu - le But de Son Sacrifice - même : nous RAMENER A LUI. Or, nous l'avons pitoyablement oublié, et cela bien que nous en ayons encore sous les yeux et à notre disposition les éléments nécessaires essentiels pour le comprendre nous-mêmes :
Il n'est pas QUE MISERICORDIEUX, depuis qu'Il est, selon les Chrétiens, « MONTE VERS LE PERE POUR PRENDRE POSSESSION DE SON TRONE GLORIEUX » : Il est un Roi Qui, pour être Bon et pour avoir accompli le Sacrifice Suprême de Sa Personne pour nous sauver, n'en est pas pour autant CASTRE de Sa RIGUEUR - sinon, comme dans la vision chrétienne non-catholique, il n'est pas vraiment roi, et semble-t-il, ne le sera jamais...
Alors, vous qui pensez pouvoir vous frotter sans autre à la Gloire du Christ, alors, je vous souhaite bonne chance. Mais je préférerais de loin pour vous que vous priiez sérieusement et sincèrement, que vous demandiez à Dieu si est vraie ou fausse la certitude que vous avez que Son Eglise et la Doctrine qu'Il a laissées derrière Lui - et que vous lisez même dans Sa Parole en en refusant catégoriquement l'implication dans nos vies humaines, dans notre quotidien spirituel, peut-être parce que vous ne la percevez pas, et/ou ne Le comprenez pas, que sais-je... Eh bien, je vous souhaite, Madame, Messieurs les auteurs de cette video, de vous défaire de vos préjugés hérités de vos parents et/ou de votre milieu religieux fondamentalement anti-catholique quant à des points de doctrine qui vous échappent TOTALEMENT, dont vous ne comprenez pas du tout le contenu ni la portée, et dont en réalité, vous êtes ignorants de la véritable substance et des implications profondes. Donc, plutôt que de vous adonner à la démolition systématique de tout ce qui porte la marque d'une Connaissance que ses détracteurs ont abandonné depuis des siècles, je vous suggère plutôt - prenez ou délaissez mon conseil, à vous d'en juger - de demander à Dieu de vous en révéler la pertinence en acceptant que Sa réponse, le cas échéant, puisse venir bousculer vos convictions et votre zone de confort spirituel dans les mesures que vous vous êtes choisies, et à l'intérieur desquelles il vous est confortable d'évoluer.

Dieu est LE TOUT ! et Il dépasse de très loin l'entendement de l'homme. L'Homme n'a pas INVENTE Dieu ni les Religions, mais c'est certain : il en fixe les limites !...

Pour ce faire, je vous suggère de vous agenouiller humblement devant votre Seigneur et de Lui demander, avec la plus grande sincérité, et le plus grand sérieux, de vous révéler PERSONNELLEMENT et DIRECTEMENT si elles sont vraies ou fausses, ces croyances héritées de vos parents et de votre milieu, que vous avez intégrées aux vôtres jusqu'à présent, et qui s'opposent si farouchement, en les dénigrant, aux Messages qu'à Son départ, le Christ a laissé derrière Lui pour l'Humanité entière... Or, ce Message tant raillé ne veut que CONSTRUIRE NOTRE PAIX...
Demandez à Dieu PERSONNELLEMENT, s'il sied à Son Plan et à Sa Bonté pour l'Humanité que vous démolissiez ainsi des points d'Enseignement millénaires qu'Il a Lui-Même confiés à Ses Disciples, qui les honoraient - et que vous le fassiez en utilisant de surcroît Son Nom Très-Saint pour ce faire, et la Parole aujourd'hui incomprise parce que depuis longtemps altérée, qu'Il a laissée à Ses premiers Apôtres... -

Qu'il y ait des désaccords entre protestants, évangéliques et autres réformés face aux catholiques est un fait observable depuis des siècles. Cependant, une incompréhension primaire des doctrines sacrées anciennes qui en constituent le fonds, et dont l'Eglise a été contrainte d'abandonner l'Enseignement ouvert à travers ses deux-mille ans d'histoire, n'autorise ni ne justifie en aucune manière que l'on passe le plus clair de son temps et de ses préoccupations quotidiennes à démolir le peu qu'il nous en est resté. Et cela (le pire) en croyant servir Dieu.
Je plains les personnes, par ailleurs peut-être bonnes chrétiennes, qui ne pensent qu'à prêcher l'évangile de la contradiction, et à nier dans ses Fondements la Sagesse et la Connaissance que d'autre part, ils prétendent honorer.

N'y a-t-il pas mieux à faire, pour servir le Seigneur, qu'à démolir Son Oeuvre, aveuglé d'Ignorance et incité de hargne contre Serviteurs et Doctrine, et à mettre, avec Ses Ennemis, des embûches sur le Chemin de l'Accomplissement de Son Plan ???...

Que D.ieu nous aide à ABANDONNER DEFINITIVEMENT NOS PITOYABLES GUEGUERRES RELIGIEUSES !!! Et que nous instruire de Ses Vérités - de TOUTES SES VERITES - devienne la MOTIVATION PREMIERE de tout ceux qui DISENT L'AIMER ET LE RESPECTER : non seulement pour nous comprendre mutuellement, mais pour MIEUX LE COMPRENDRE , LUI !

Sincèrement vôtre,

MMEMJonesE.

vendredi 26 avril 2019


Tariq RAMADAN vs. Philippe De VILLIERS

(Il y aurait beaucoup plus à relever et à dire, notamment l'incapacité totale dans laquelle se trouve Mr de VILLIERS d'écouter son interlocuteur  ET DE REPONDRE A SES POURTANT   TRES SIMPLES   QUESTIONS...) 

À 2 min.50 :
Faites-en un problème MORAL, Mr de Villiers, et vous aurez une esquisse de solution vers la Paix entre les Religions, même en France, car vous dites ne pas vouloir entrer en matière avec la religion, cependant, c'est là le coeur du problème et, vous le dites vous-même, le coeur de votre PREOCCUPATION.
Or, MORALE et RELIGION sont intrinsèquement LIEES, personne ne pourrait nier cela : des générations entières d'Occidentaux l'ont claironné ces dernières décennies, dont la mienne - je suis née en 1957 - en se moquant des deux : de la Religion, en lui niant sa pertinence, et du bien-foondé de la « vieille morale de Grand-Mère », dont nous faisions des gorges chaudes et dont nous faisions fi avec un immense sentiment de supériorité en faveur de la dépravation des moeurs amorcée dans l'après-guerre, et que nos générations d'alors et depuis ont toutes contribué à faire sortir de l'ombre de la criminalité pour l'installer sur le siège de la normalité.

En Occident, avant tous les autres, la France et les Français, par leur Révolution, en niant ces deux notions qui s'imbriquent l'une dans l'autre, a été la première, historiquement, à les combattre plus qu'ouvertement, et à en faire, paradoxalement, un objectif prétendant à plus de justice et de rectitude : la quête avouée d'une VALEUR à rechercher. Un objectif que la « civilisation » occidentale n'a pas cessé de poursuivre jusqu'à nos jours.
Il y avait, il est vrai, dans la Société d'alors comme dans toutes celles de tous les temps, une marge suffisamment large entre les idéaux de la Religion et son application aux sociétés, pour que les ennemis de cette Religion puissent espérer parvenir à instaurer une amélioration conséquente de leur Société, en investissant cet espace d'incohérence laissé inoccupé par les idéaux religieux, à savoir leur application dans les dimensions de la pratique. Probablement - et même, j'en suis persuadée - que cet espace, cette marge d'incohérence entre les théories spirituelles et les pratiques qu'en font les Hommes, étaient dues à L'INCOMPREHENSION ou l'IGNORANCE de la véritable Sagesse et de la SIGNIFICATION de nos Religion. (Je n'en débats pas ici.)
Un monde sans loi n'étant guère possible, il fallait donc en promulguer de nouvelles pour contenir les instincts de l'Homme, qui n'est pas encore prêt à se les imposer lui-même, de son plein gré et avec succès. De nouvelles lois ont donc été promulguées pour refonder la Société SANS LES ENCOMBRANTES ET HONNIES NOTIONS RELIGIEUSES : ce sont les Lois REPUBLICAINES. Toutefois, le but avoué d'une révolution et d'un remaniement, en surface ou en profondeur, d'une Société étant toujours le même : le bonheur et un meilleur bien-être du peuple qui doit vivre sous ce régime, les LOIS REPUBLICAINES, SANS FAIRE MENTION DE « RELIGION », sont néanmoins - et là, j'aimerais dire : forcément - CALQUEES dans leur FOND et plus précisément en ce qui concerne leur BUT, quoique sans faire mention de la religion, sur celles qui existaient dans la Société organisée sur une conscience religieuse. Quoi de plus compréhensible et normal, puisque c'est forcément la LOI MORALE, enfouie à l'intérieur de tous et de chaque Homme, qui peut, qui doit, et qui dans un tel cas s'exprime, lorsqu'on vient mettre sur papier un code de conduite, des limites et des balises à tous les comportements possibles et imaginables de l'Homme.
(Même les animaux ont une « loi morale » qui les suit et les édifie à travers leur long périple cosmique vers la Perfection, mais pour eux, cette balise est EXTERIEURE à eux-mêmes, et c'est ce qui nous fait dire qu'ils suivent leur « instinct ». Cependant, s'ils n'avaient à leur disposition que leurs acquis en tant qu'ETRES MATERIELS, ils créeraient autour d'eux un monde plus terrible encore et plus cruel que celui que l'on connaît comme LE MONDE NATUREL. Aussi, afin de le juguler en partie, ils sont reliés, et ce, non pas de leur propre volonté, mais de manière heureusement inéluctable, à leur être spirituel invisible dont ils effectuent le Service de l'Evolution dans la Matière. Ils ont donc, eux aussi, une LOI MORALE, qui les guide, et ils en bénéficient en étant RELIES à la Source de TOUTE LOI MORALE, tandis que chez l'Homme, elle est AU-DEDANS DE LUI, et il en a la maîtrise - du moins, par son libre-arbitre, il dispose du droit... d'en disposer, justement.)

C'est ainsi qu'à la Révolution Française, consciemment ou plus ou moins inconsciemment, on a donc tenté d'empêcher, ou tout au moins d'endiguer le flot cependant prévisible de maux sociaux divers et nombreux que l'on pouvait très probablement déjà entrevoir tout au moins comme possibles, lorsqu'on a, à ma connaissance pour la première fois dans toute l'Histoire de l'Humanité, commencé de combattre OFFICIELLEMENT et OUVERTEMENT la Religion qui nous unissait, même si d'une manière imparfaite, au(x) Monde(s) et aux Etres invisibles - à L'ETRE Qui Est la Source, LA Raison et L'Origine de notre existence, et Qui Seul était à même (mais l'est encore, je vous rassure), de nous préserver des Maux qui ne pouvaient manquer d'apparaître en CONSEQUENCE de ce reniement, dans et par un idéal que nous constatons bien aujourd'hui être totalement UTOPIQUE.
Toutefois, le constater est une chose, le reconnaître et l'avoueer en est une autre. ( Pourtant, une VRAIE SOLUTION AU PROBLEME NE SAURAIT ETRE QU'A CE PRIX !... )

Toujours est-il, les LOIS REPUBLICAINES sont là, et en substance, elles ne sont pas si différentes des Lois Religieuses. D'où viennent alors toutes nos disputes et nos (apparentes) oppositions de croyances, d'idéologies, et (les plus flagrantes) de MOEURS au quotidien et sur la longueur de temps, dont vous nous donnez, Mr de Villiers, un (très petit) aperçu dans votre énumération ? Elles sont GRAVES, puisqu'elles peuvent conduire, comme vous le mentionnez, à des violences inacceptables, mais aussi - car nous l'oublions systématiquement - à des angoisses et des détresses morales immenses, à la fermentation de PEURS, non pas seulement chez les Occidentaux, lorsqu'ils pensent au « danger » que représente pour eux l'Islam, mais également POUR LES MUSULMANS, lorsqu'ils constatent l'état de la Société dans laquelle ils vivent (par obligation ou non).
Oui, la DEPRAVATION MORALE qui est autour d'eux et à tout un chacun IMPOSEE AVEC DE PLUS EN PLUS DE FORCE, NON SEULEMENT COMME UN « IDEAL DE VIE », MAIS AUSSI (ET SURTOUT) COMME UNE OBLIGATION INCONTOURNABLE DE S'ADAPTER A DE TELLES « MOEURS NOUVELLES », représentent un DANGER tout aussi sérieux que celui ressenti par ceux qui les imposent envers ceux qui les refusent parmi la population d'Occident, c'est-à-dire non seulement pour les Musulmans, mais également, même s'ils n'osent pas le dire, pour la population occidentale « plus âgée » ou aux ressentis plus traditionnels, aujourd'hui systématiquement moquée et villipendée : ainsi, on traite ceux qui s'en répondent (ou n'osent pas le faire mais le voudraient bien) de « vieillots », de « ringards », etc., et maintenant, ON LES IGNORE TOUT BONNEMENT, TOTALEMENT, DANS L'ECONOMIE SOCIETALE A TOUS LES NIVEAUX : on ne tient AUCUN COMPTE de cette sensibilité plus délicate et réservée, et on la condamne en retournant contre cette population un jugement accusateur, dans lequel on fait de la Religion la source et la cause de tous les Maux. Alors que c'est bien évidemment TRES EXACTEMENT LE CONTRAIRE...

Inutile, donc, d'aller chercher dans la PRESENCE RELIGIEUSE « de chez nous » ou d'ailleurs, la cause des Maux que nous subissons - et dont nous sommes, je vous l'affirme, nous-mêmes (Occidentaux) responsables - car ce n'est pas la « présence de la Religion » qui en est la cause, mais son ABSENCE, et le fait qu'en balayant la Conscience Religieuse dans notre Société, nous en avons également balayé la Conscience MORALE, qui lui est intrinsèquement liée.

il faut donc un DENOMINATEUR COMMUN, sans lequel le dialogue que l'on prétend pitoyablement rechercher sur les plateaux de télévision est alors impossible - comme bien des pauvres gens nous en font la piteuse démonstration... - et en particulier le Dialogue avec L'ISLAM (mais les autres aussi, secondairement).

Ce DENOMINATEUR COMMUN est, à mon sens, LA MORALE, cette MORALE que les premiers partisans de l'abolissement des Religions ne réalisaient peut-être pas être en train de bouter de notre Civilsation en en chassant la Religion. Ces partisans acharnés de la GUERRE CONTRE DIEU étaient les Obscurantistes, que la tradition française a voulu très honorofiquement qualifier de l'OPPOSE de ce qu'ils étaient vraiment, en les appelant les « lumières »... Nos plus proches ancêtres, quant à eux (les 3 ou 4 générations du 20e siècle) étaient/sont déjà tellement conditionnés par ce mode de vie et de pensée, que pour la plupart et en tous les cas pour les plus acharnés, il y adhèrent sans plus la remettre en question.

Or, si l'on parvient à nous regarder nous-mêmes honnêtement, il est tout aussi faux (toutes proportions gardées), de couper la main de quelqu'un ou de le tuer, que de l'obliger à toutes sortes de comportements contre sa Moralité - l'une faute étant physique, l'autre psychologique. Nos Loi (Républicaines) ne condamnent-elles pas aussi la torture psychologique ? l'atteinte à l'intégrité psychique ?
Pouvant se situer dans tous les domaines de notre vie en Société, de telles atteintes psychologiques peuvent prendre des intensités tout-à-fait diverses : elles peuvent aller d'une contrainte RELATIVEMENT légère quant à la simple (?) manière de s'habiller (le voile, le port d'une Croix ou d'un signe religieux distinctif), à de plus graves et plus oppressantes. Allez-vous INTERDIRE LA KIPPA ET LE TURBAN DANS LA RUE , Monsieur de Villiers ??? Que pensez-vous de cette revendication de certains à prohiber TOUT SIGNE RELIGIEUX DISTINCTIF dans les lieux publics ??? De là à faire des descentes de police dans les chaumières pour vérifier que personne ne les porte à l'intérieur non plus, il n'y a plus, dans ce genre d'arbitraire, qu'un TOUT PETIT PAS A FRANCHIR...

Puisque nous ne pourrons donc pas nous entendre (du moins dans un premier temps), sur la théologie et ses nombreuses formulations, ni, avec les ennemis inconditionnels des religions, sur le bien-fondé d'une pertinence de son existence et d'une possible tolérance à son égard - il faudrait impérativement, toutefois, que nous reprenions en mains et rappellions à notre esprit la toute simple MORALE - oui, celle de nos grands-mères, que nous avons, avec l'étiquette religieuse, jetée à la poubelle de nos moeurs, d'où, par contre, nous avons retiré nos passions et nos avidités, pour en vivre en lieu et place.

Nous pourrions donc tenter de rappeler à nos esprits la MORALE dénuée d'étiquettes religieuses, si nous le préférons ainsi ; et nous verrons IMMANQUABLEMENT que non-seulement, ELLE RESOUD UN GRAND NOMBRE, SINON TOUS NOS PROBLEMES DE SOCIETE, MAIS ELLE CREE UN PONT DE DIALOGUE POSSIBLE AVEC CELUI QUI SEMBLE (en apparence seulement), ne pas avoir les mêmes idées que nous : sur le plan de la Morale, il ne sera probablement jamais en contradiction ni en porte-à-faux avec nous sous la lumière du bien et du mal : toujours selon son propre niveau de conscience, qui alors SEUL DIFFERENCIERA LES INDIVIDUS, mais jamais dans une CONSIDERATION D'APPARTENANCE CULTURELLE OU RELIGIEUSE, que vous dites clairement réprouver, Mr de Villiers.

Car par définition, la MORALE recherche LE BIEN UNIQUEMENT, et pour tout ce qui lui est contraire, elle applique le qualificatif d' IMMORAL , voire d'a-moral, pour définir les personnes ou les actes dénués de ses vertus par ABSENCE de moralité, et non par VOLONTE DE LA CONTRER. Il y a donc un terrain possible d'entente entre les Religions, et même avec ceux qui ne VEULENT PAS DE LA RELIGION à proprement parler, si tout ce monde considère les problèmes que connaissent aujourd'hui nos Sociétés sous le jour de la Morale, et non de l'appartenance à une culture ou à un groupe ethnique, culturel ou religieux. Parce que la Morale est UNIVERSELLE, et que chaque Homme la possède au fond de lui, du moins à des stades et avec des intensités plus ou moins développées, mais les Principes demeurent les mêmes et reconnaissables de chacun envers chacun.
Je pense, personnellement, que ceci est le B-A-BA de la Communication et de l'entente entre tous les Hommes...

Lorsqu'on regarde les choses sous cet angle, suivant le niveau de Conscience de chacun, la densité et la qualité de son évolution morale dans le subtil et l'empathique, on pourrait bien constater alors que pratiquer les propositions suivantes relève tout autant du Mal dans l'une que dans l'autre  :
  • d'ôter la vie et/ou d'infliger une souffrance gratuite et de la cruauté à qui que ce soit ;
  • de porter atteinte à l'intégrité morale et psychologique autant qu'à l'intégrité physique d'autrui ;
  • d'exercer une contrainte physique ou psychologique sur quiconque ;
  • de manquer de respect à autrui, et de le priver d'être traité et de se traiter lui-même avec respect ;
  • d'imposer ses croyances et sa perception personnelles de la liberté en imposant son propre libre-arbitre au détriment de celui d'autrui dans les comportements universels, si cette liberté est offensante pour autrui ; (Jean-Paul Sartre : La Liberté de chacun s'arrête là où commence celle des Autres ». Si elle ne sait pas s'arrêter, c'est elle, qui est DEVOYEE et contraire au Bien) ;
  • d'interdire ou d'empêcher autrui de vivre sa moralité dans la mesure où celle-ci n'est ni offensante ni indécente, ni agressive ;
  • etc, etc, les exceptions envisageables à ces principes de lois (certainement non-exhaustifs) étant extrêmement spécifiques et soumis à de drastiques conditions de Justice, de Respect du Libre-Arbitre des personnes, ainsi que du respect de la responsabilité déontologique des professions d'aide à autrui, notamment dans le domaine de la médecine, que vous évoquez, rendent les cas de figure possibles sujets à de nombreuses déclinaisons, de profondes réflexions et interprétations.

Ainsi, si vous recherchez ce qui est juste et bien - pour chacun - les solutions aux multiples problèmes et questionnements qui peuvent surgir s'imposent souvent d'elles-mêmes, et deviennent en tous les cas accessibles. Où situez-vous VOTRE pensée, par rapport à ce qui précède, Mr de Villiers ? Comment prenez-VOUS position par rapport à tout cela ? vous qui êtes si prompt à juger insuffisante la prise de position d'autrui... Au fait, le jour où vous aurez décidé d'aller vous-même porter votre bon message aux dirigeants de ces pays dont vous vous faites, semble-t-il, un but honorable de changer les lois ancestrales - après les nôtres, pourquoi pas ?... - lorsque vous partirez vous-mêmes les affronter armé du même courage dont vous témoignez à tenter d'envoyer un autre pour le faire : Mr de Villiers, je serai très attentive à suivre et à encourager votre intégrité résolue, votre courageux esprit d'entreprise et votre bravoure déterminée. Je serai très heureuse de constater aussi - SI tel devait être le cas - que votre réflexion hardie et votre hardiesse si bien réfléchie à vous tout seul, et conquérente de toutes les valeurs ancestrales des hommes et des cultures dont vous ressentez si cruellement l'inadéquation, vaudraient enfin au monde la libération ABSOLUE et RADICALE de ces peuples et de ces cultures, que vous attendez de Mr Ramadan.

Quoi qu'il en soit, en attendant ce jour de votre grand courage, vous pouvez repasser TOUTS LES PROBLEMES de notre Société en revue à l'aune de la Morale, la recherche du Bien et du Mal, qu'aujourd'hui, on préfère appeler « éthique », avec cette seule intention d'en bouter la Conscience religieuse - ce qui toutefois est impossible dans l'absolu, mais peut se faire en apparence, pour ménager les âmes sensibles vis-à-vis de la Religion... - (qu'à cela ne tienne...) : faisant cela, vos trouverez certainement les points d'accord entre les pensées et les mentalités différentes, non seulement celles dont on parle ici, mais TOUTES les formes et les expressions de Pensée Humaine...
Vous trouverez sans aucun doute les Chemin vers les solutions qui sont indispensables à la construction d'un Monde et d'une Société PAISIBLE et HARMONIEUSE.

J'en suis personnelllement PERSUADEE. Je n'entre pas plus dans le détail ici, mais de ce sujet, chacun peut - et doit - en faire la réflexion et, espérons-le, la constatation et l'exercice pour lui-même...

Avec cet espoir et mes cordiales salutations, MMEJ.

vendredi 22 mars 2019

Monica  and  other  DIRTY PIGS  

wallowing in sickening pornography :  



GET THE HELL  OUT OF MY SITE !!!  


(I apologise to the  NOBLE  ANIMAL  for relating him in any way with you !  HE  would never  plunge into such depths of disgusting conduct !)  

If you do not leave this site immediately and cease to interfere with its stats and visibility, I will have to seek to denounce you to the proper authorities, in Switzerland or elsewhere.  

I do intend to be   LEFT IN PEACE  AND CEASE TO SUFFER YOUR HARASSMENT !   

Mary Magdelene Eve Jones-E. 



samedi 25 août 2018

(Commentaire)
PART 2. So this is the whole purpose of KARMA, which is inscribed in the very machinery of the Universe, under the attentive surveillance of the Almighty and the collaboration of all His Angels : WE write the text, the screenplay, and operate modifications on the whole, and once we have jotted a line and thrown a word or an act with consequences, we come back as a protagonist actor, to pick it up from there and interact with each other... Thus is the Justice of God and the reason why Jesus said to do unto others ONLY WHAT YOU WOULD HAVE THEM DO UNTO YOU : we think He wants us to obey this admonition for the sake of « others », but in reality, it is for our own sake... Cardinal John Henry NEWMAN discretely refers to this phase of descent in the very last lines of his poetic work « The Dream of Gerontius ». He called it : the Plunging into the deep Waters... The account is somewhat crypted, as the Catholic Church is not allowed to assume the notions of Rebirth and Reincarnation in her Teachings. However, I am personnally convinced that Cardinal NEWMAN had an actual Vision or experienced the subject of his narration, and that his tale is not just « poetic », but also PROPHETIC. Even though it is somewhat more complex than this, we are given to understand here that God's Love and Justice work in such a way that many of whom we think that they are « other people », different and separate from us, are in reality, in their inner being, one and the same with OURSELVES, even though we will get the full revelation of this superior reality when we also reach « the other side » (beyond the Veil...). This is what makes us realise that « God's Justice » is no vain word nor a fake idea, and understand why so often, we do not see it happen with our fleshly eyes, nor comprehend it with our humanly limited understanding : if it seems to fail on our human level, it unmistakably happens on the greater cosmic level. And in both possible cases, upon many occurrences, the individual we perceive as « another », on the inner level, is OUR SELF, called to pick up on the line and carry on the play. And most of the time if not all, as recipients of our own lines and compositions, what He wants us to reply is : FORGIVENESS... Unbearably, this is the whole purpose of Life, which is so difficult to comply with. This is why we need the Lord's Help to do this. To conclude, I would like to refer to a video you can find on youtube, in which children recall their previous lives (Google : « 5 or 10 children remember their past lives » should take you there). It's not freaky, but it's sobering, and whether we chose to believe it or not, these are firm, unavoidable realities, though invisible at this stage of our existence : there is an awful lot there to relfect upon in relationship with our own lives. https://www.youtube.com/watch?v=lLnTl3PRZL0 With my prayers and best wishes to all of us for 2018 and the future, MMEJ.
Moins

mardi 24 avril 2018


Mr CASTANER et LE VOILE DES FRANCAISES...





Commentaire :

C'est vrai, Mr CASTANER se trompe un peu : ce n'étaient pas nos mères, mais plutôt nos grands-mères, qui portaient le fichu : quoique dans nos pays du Nord, essentiellement, car au sud et à l'est, les femmes le font encore même aujourd'hui. Mais au Nord, on sait bien qu'on est à l'ouest... !  
J'ai plus de 60 ans (je pourrais être sa mère à lui, ou presque...) et notre génération se cassait déjà le nez dans la dépravation. Alors pour ce qui est de mettre un fichu fichu sur la tête, vous pensez bien...  

Mr CASTANER se trompe, c'est vrai, en disant que nos mères se couvraient la tête, si l'on veut s'en tenir aux moeurs de nos quelques pays du coeur de l'Europe, leaders en tout, surtout l'apostasie ; toutefois, dans le fond, il n'a pas tort, ce monsieur : il veut dire qu'il n'y a pas si longtemps de cela, elles le faisaient, et c'était normal. Pourquoi « pinailler » sur un détail secondaire, quand le coeur de la question n'est pas là ???

En effet, c'est pourtant bien clair et dans la video, et dans le texte écrit : la question ne portait pas sur comment s'habillaient les femmes autrefois, de nos mères à leurs grands-mères, ni sur la date ou la période du changement   - ce fameux changement tant prisé, dit-on, par les femmes d'aujourd'hui, qui cependant, semble-t-il, n'ont pas encore pris conscience des conséquences de sujétion plus grande encore à un despote bien plus odieux que nos traditions : le laid, l'hideux, l'impur, l'infâme, l'innommable, le méchant, le rude, l'arbitraire, qui leur impose l'endurcissement du coeur et l'abandon de la douceur et de la beauté purement féminine, de tout ce qui est spécifiquement féminin - pour leur imposer le disponible à tous et à tout, surtout aux désirs de l'homme, alors qu'elles tentent pitoyablement de dire « non » à toutes les obligations de dire « oui », qu'elles contribuent à instaurer contre elles-mêmes. Or, ces obligations viennent, en réalité, non pas seulement des femmes elles-mêmes à vouloir prétendumment se « libérer » de quelques excès d'autorité masculine envers elles, mais en réalité de l'incompétence des hommes de notre société à demeurer MASCULINS, de la lâcheté et de la paresse, de l'égoïsme et de l'infantilisme de la gente masculine qui ne veut plus être « responsable » de la femme, tout en ayant bien l'intention de continuer de la « consommer »...    

Les excès d'autorité incriminés pour induire cet état de fait, dus notamment, à travers l'histoire humaine, à l'ignorance et l'incompréhension de ce que sont, fondamentalement, les hommes et les femmes, n'ont toutefois pas caractérisé toutes les époques de la même manière, ni avec la même intensité ou le même rapport avantageux-désavantageux au femmes, ni ne l'ont toujours fait sans plus ou moins larges compensations, qui aujourd'hui ne sont malheureusement plus discernables pour les femmes, en raison de leur rejet des traditions, justement, et de leurs profonds enseignements. Cela vaut, à mon sens, pour nos société occidentales.

Quant aux combats menés pour que cessent les exactions graves perpétrées à travers le monde contre des femmes, ils gardent leur parfaite pertinence, mais ne sont pas légitimés exclusivement par une libération féminine  en opposition au pouvoir des hommes, mais fondamentalement, par une reconnaissance des droits humains de chacun, et du Combat qu'il est juste de mener contre toute exaction commise à l'encontre de tout être vivant, comme un tout dans le choix des puissants pour soit la Paix et le Bien dans le Monde, soit la tolérance du Mal, et les conséquences que celui-ci apporte quant à la qualité de vie de tous les êtres vivants de la Terre.   

Le véritable sujet religieux ne devrait pas y être remis en cause ni éradiqué, mais au contraire, rendu plus accessible à une COMPREHENSION UNIVERSELLE, à savoir, en lui redonnant toute sa véritable Dimension, qui alors amènera avec elle la compréhension IMMEDIATE des mouvements cosmiques de l'Univers au niveau humain, et avec cette compréhension et cette Connaissancce, le Désir intrinsèque de faire cesser le Mal, tandis qu'on comprend pourquoi il arrive, notamment lorsque la Religion nous enseignera ce que seuls les Initiés à l'ésotérisme, l'hermétisme, la Torah Orale et toutes les Traditions Anciennes connaissent, et notamment que dans la vie matérielle, chaque Ame, à chaque Renaissance dans ce Monde, le monde matériel, y revient tantôt homme, et tantôt femme. Le sujet religieux est essentiel à cette compréhension, il en est le coeur et le sujet-même. Alors, Mesdames, Messieurs, COMME ON FAIT SON LIT, ON SE COUCHE  -   et on s'y couchera tôt ou tard, une fois ou l'autre, dans une vie ou une autre. Si la Religion n'est plus là pour nous le dire, comment ferons-nous cesser le Mal ? Il ne cessera pas de lui-même, si nous l'encourageons par l'Ignorance.

Quoi qu'il en soit, dans la video et dans l'article, le coeur de la préoccupation de l'interrogatrice était de savoir si le voile rend la femme inférieure à l'homme (le foulard ou le fichu en analogie avec le voile). Ce à quoi Mr CASTANER  répond en projetant son interlocutrice une cinquantaine d'années en arrière, et fait valoir tout-à-fait justement et intelligemment qu'en ce temps-là, lorsqu'elle était encore largement en vigueur dans nos contrées, cette pratique vestimentaire n'avait pas d'incidence sur cette question. Et c'est totalement vrai.

D'ailleurs, la journaliste comprend si peu le sujet religieux, (qu'elle semble plutôt intéressée à démolir qu'à mieux appréhender), et elle connaît si peu la question qu'elle traite, justement, qu'elle n'est même pas en mesure de considérer que dans toutes les religions sauf dans le Christianisme (qui se trompe à cet égard), tous les hommes sont astreints à se couvrir la tête d'une manière ou d'une autre lors de la prière, voire dans la vie quotidienne courante. Ce serait trop long de lui expliquer pourquoi ici.

Etre "jeune" et mieux que les anciens est tellement ancré dans notre société, qu'aujourd'hui, suivant la mode imposée de rejeter toute tradition (et surtout de ne jamais essayer d'en comprendre aucune), on juge tout ce que l'on n'a pas soi-même connu comme étant ringard (au mieux), le plus souvent dommageable, offensif ou même nuisible à la liberté : une liberté  - surtout féminine -    qui à force de côtoyer les bas-fonds, est réduite aujourd'hui à une servitude crasse, à un asservissement bien plus implacable et contraire aux intérêt des femmes, qui les asservit bien plus sûrement que les traditions d'autrefois : car il s'attaque à leur NATURE, tout en faisant d'elles des objets de plaisir purement physique et avilissant : Plaisir de qui ??? des hommes, bien sûr... Satisfaction du maître incontourné, incontournable, seulement  déguisé en égal, en identique, devant lequel la femme, objet indignement utilisé, devenu servile, non seulement ne se défend pas, mais tisse de ses propres mains et de ses propres revendications, sa disgrâce et sa déchéance programmée, esquissée et entamée, qui entraînera, si elle n'y prend pas garde ni n'en renverse le cours, celle de l'humanité tout entière... car c'est de la femme, que dépend l'avenir et le sort de l'humanité...

Alors comme mieux pour tous, bonjour le progrès... ! Et en sus, parce que c'est toujours plus agréable comme ça, on leur fait croire que c'est elles qui le choisissent, et qu'en réalité, elles aiment toutes ça !...

Et Mme Emilie Dufresne - ou est-ce peut-être Mademoiselle ? car si vous n'avez jamais vu une femme avec un fichu sur la tête, vous devez être très jeune -  chère Mademoiselle, donc, appeler cette bévue un mensonge est plutôt ridicule, une réaction immodérée, qui sonne vraiment déplacés à la lecture du texte ; vous êtes outrée excessivement, et vous vous offusquez démesurément face à une petite erreur d'évaluation du temps, qui n'est que secondaire, en tous les cas, au centre de la question. Et la journaliste qui interroge Mr CASTANER  fait exactement de même, l'empêchant ainsi d'aller au bout de son raisonnement analogique, et faisant barrage au message qu'il entendait faire passer, vraisemblablement aussi insupportable à cette journaliste qu'à vous-même et aux commentateurs.

Aujourd'hui, les enfants de ces femmes qui se couvraient encore la tête ne savent tellement plus pourquoi elles le faisaient, parce que la tradition ne s'est pas transmise, justement, qu'ils trouvent des raisons naturelles qu'ils peuvent accepter, si incapables qu'ils sont d'accepter celles plus profondes liées au sujet religieux estimé, respecté. Peut-être leurs mères ne le savaient-elles déjà plus : mais cela ne fait ni enlever la raison dite « religieuse », ni la rendre impertinente en elle-même -  seulement incomprise parce qu'inconnue. Avec cela, indésirée, dénigrée, méprisée, délaissée puis écartée totalement, couverte d'opprobre de la part de ceux qui, ne la comprenant pas, décident de ne pas en tenter l'approche, comme la plupart des Ames dans notre Société en faillite.

Cette incapacité dans laquelle sont les jeunes d'aujourd'hui de tirer la substance utile d'un texte ou d'une parole, tout en laissant de côté les éventuels détails erronés qu'ils peuvent contenir ; cette manière qu'ont les parleurs de nos jours, (et surtout les journalistes), de chercher la petite bête sur un détail qui n'est pas pertinent pour le sens principal d'un message   - qui alors manquera forcément son but -  cette méthode journalistique de concentrer un pamphlet négatif sur un détail manqué pour circonscrire le débat dans des zones de conscience qui font appel aux émotions des lecteurs (le mépris en est une) au lieu de la réflexion   -     cette propension à concentrer le tir belliqueux sur un détail raté plus facile d'accès que le sens propre et profond du texte ou des paroles de celui qu'on considère comme un adversaire   -    cela me met mal à l'aise et m'empêche d'avoir le moindre plaisir à lire les journalistes d'aujourd'hui (je ne parle même pas de leur français...) .

Si la journaliste avait laissé  Mr CASTANER  s'exprimer au lieu de s'offusquer et de l'interrompre, il aurait pu développer et expliciter sa réponse, probablement dérangeante pour la journaliste et pour beaucoup, aussi elle a, semble-t-il, préféré faire mine de ne pas la comprendre, pour la démoilir par le biais d'un détail secondaire. Mais même sans s'y attarder de plus, cette réponse est complète telle quelle et COMMUNIQUE SA PERTINENCE.

Par ailleurs, la démarche de cette journaliste est inquiétante, car elle porte atteinte gravement à ce qu'elle prétend défendre : nos libertés, et il est bien évident dans ce petit extrait, qu'elle ne s'en rend même pas compte, ce qui est très dangereux et immédiatement dommageable.   (Je n'ai pas le temps de lire toutes les réactions, mais elle n'est pas seule concernée par cette haine de la liberté religieuse qui envahit notre société aujourd'hui.)  Le pire, c'est qu'elle le fait sous des prétextes et des prétentions de défendre, justement, la liberté, grande perdante dans cette attitude et dans toute cette démarche : en 1960, Jean-Paul Sartre pouvait encore dire  que « la liberté de chacun s'arrête là où commence celle des autres » et espérer être compris ; aujourd'hui, il ne sert à plus rien de le dire : on passe pour un idiot... un fou ou un débile est celui qui dit quelque chose que « je » ne comprends pas. « Ce ne saurait être moi, car « je » est toujours, à ses propres yeux, le plus intelligent... »

Bravo, la photo sous la vidéo : ce sont les années 50, par ailleurs...

Pour conclure, au lieu de critiquer sans connaissance une réponse pertinente à une question qui l'est de fait nettement moins, allez plutôt demander à un hindou portant le turban s'il se sent inférieur de devoir le porter. Il vous répondra certainement que ce n'est en tous cas pas un signe d' INFERIORITE, mais d'une certaine SUPERIORITE de statut : statut social, mais qui reflète un statut « cosmique », car le port du turban pour les hommes est une pratique tout autant religieuse que celle du voile pour la femme. Il touche donc toute l'humanité et le sujet religieux en général, dont notre société est bien la dernière compétente pour débattre pertinemment de ses thèmes, ayant rejeté tout ce qui en fait la substance. Et ceux qui y restent encore attachés (les leaders des religions) sont soit dans une déplorable ignorance eux-aussi, soit en possèdent une connaissance plus grande, mais qu'ils ne sont en tous les cas pas disposés à partager avec le monde, avec les petites âmes que nous sommes tous, la plupart d'entre nous, et qui avons cependant besoin de cette profonde connaissance pour accéder enfin à la paix dans le monde à laquelle nous aspirons, et que nous devons impérativement, en fait, CONSTRUIRE nous-mêmes, par nos propres efforts et notre propre volonté. Comment le ferons-nous, cependant, puisque cette Construction et notre Volonté pour l'entreprendre sont    TOTALEMENT  DEPENDANTES   de la Connaissance qui nous demeure cachée par ceux qui  savent... ? C'est pourquoi ils nous font un grand, un très grand tort...

Je ne m'étends cependant pas là-dessus, c'est trop long ici. Cependant, la VRAIE TRADITION est UNIVERSELLE, et dans sa réponse, vous aurez celle à la question du voile pour la femme, qui n'est en tous cas pas un signe de mépris envers elle, bien au contraire.



Mr CASTANER et LE VOILE DES FRANCAISES...

(Réponse à Mme Geneviève)

Chère Madame,

Pour pouvoir répondre à votre question, j'ai dû consulter l'internet et m'informer un peu plus avant de ce que sont et font exactement les théosophes. Rudolf Steiner, je connais un peu, bien sûr, mais tandis que j'avais déjà entendu le mot "théosophie", je n'avais jamais suffisamment creusé le sujet pour pouvoir dire "je suis théosophe". De plus, je n'ai pas encore eu le temps de lire Mme Blavatsky. Je n'avais jamais eu contact personnel avec son mouvement non plus. C'est maintenant chose faite, grâce à vous, à votre question, et en effet, j'ai découvert hier avoir une très étroite communion d'idées avec celui-ci.

Ceci pour vous dire que je ne suis pas une érudite, loin de là ; mais je suis une petite personne dont l'Ame a très soif de Vérité : or, qui la cherche vraiment finit toujours par franchir les frontières des nos ghettos immédiats... et ce faisant, ne peut éviter de se rendre compte que ces Religions qu'on nous prétend si différentes, sont en réalité la même, Une et Unique comme le Créateur. Elles sont comme une tapisserie éclairée, non dans sa totalité, mais par plusieurs spots dirigés chacun sur un endroit différent de l'Oeuvre, avec un éclairage particulier pour chacun et des niveaux dont les décalages, pourtant naturels, magnifiquement complémentaires, créent des apparences d'oppositions. Celles-ci sont des illusions d'optique, et seul notre cantonnement dans les zones de compréhension spirituelle restreintes, artificiellement circonscrites, de ces éclairages, nous empêchent de saisir la totalité cohérente du Tout, dont chacune des Religions fait partie, tandis qu'elle raconte son « petit-bout-de-Dieu »...

Attention, je parle ici de notre PERCEPTION : car tous les Religieux vous diront que   « leur »  Religion contient TOUT ! C'est on ne peut plus vrai, mais ce TOUT, dans aucune des Religions, ne nous est rendu accessible, en raison de l'action adverse de ce que personnellement j'appelle : LA FACTION D'IGNORANCE, qui a répandu sur toutes les Religions de tous les temps, mais surtout dans l'Ere Chrétienne, sa FORCE D'IGNORANCE, qui a créé ce qu'il est commun d'appeler aujourd'hui l' « ésotérisme », ou « hermétisme »    -    en réalité, le PLEIN DEPLOIEMENT DE LA CONNAISSANCE SACREE DES TEMPS ANTIQUES, que D.IEU avait l'intention de répandre sur toute la Terre et au bénéfice de tous, puisqu'Il l'a confiée à l'Homme, à Adam, à l'Aube de l'Humanité...

Dieu est contre l'ésotérisme claironnent les Chrétiens persuadés de mieux plaire à Dieu lorsqu'ils en savent à son sujet le moins possible. Oui, Dieu est contre l'ésotérisme, je le crie haut et fort : Il est contre l'ésotérisme, parce qu'il ne veut pas - c'est une offense envers Lui - que nous cachions les sublimes Vérités, que nous enterrions toute vivante la Sagesse Ancestrale...

A bon entendeur, Salut...

Que D.ieu nous aide.

Cordialement.

MMEJ.   
*** 

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https://ns2017.wordpress.com/2016/06/14/alain-juppe-si-sa-maman-lentendait/   


(Réponse à l'auteur de l'article : ce commentaire n'a pas pu être publié sur la page de l'article, en raison d'un petit  problème à régler avec Wordpress, cependant, ce ne saurait tarder...)

Eh bien, mon cher Monsieur, si vous ne trouvez pas cela dans la Bible, il vous faudra consolider vos connaissance en lecture : si le Christ  - qui se couvrait la tête, parce qu'Il était PRETRE ESSENIEN -  n'en a pas parlé, c'est tout simplement que cette pratique tombait tellement sous le sens  - judaïque à l'époque comme aujourd'hui, la TSNIOUT -  qu'il n'y avait pas, alors, à le mentionner. Paul a dû, par contre, le dire et le rappeler.  Peut-être parce dès qu'on parle de GRACE et de LIBERTE, les valeurs passent très vite à la trappe, et l'être humain est toujours tout prêt à s'engouffrer dans les chemins de la paresse et de l'endormissement de la Conscience  -  l'ajout de l'ignorance en sus...   

Il n'y a pas de geste ni de pratique plus religieuse que celle de se couvrir la tête  -  à part chez les Chrétiens, qui portent le galurin pour ne pas avoir froid. Les prêtres, eux, vivaient la tête couverte, les Esséniens comme les Pharisiens. Avez-vous remarqué que les consacré de la seule Religion qui ne se couvrent pas la tête, les Bouddhistes, hommes ET femmes, SE  LA RASENT ?  Demandez-vous POURQUOI...  Et relisez Paul pour trouver entre toutes ces traditions qu'on dit pourtant DIFFERENTES, LA  SAINE COHERENCE RELIGIEUSE UNIVERSELLE...       

Et si vous me permettez de vous le dire tout-à-fait gentiment, attendez de le savoir pour rempiler contre le voile, islamique, juif ou chrétien, et dire, je le crains, de très, très grosses bêtises...   

Très cordialement tout-de-même, en tous les cas,  

MMEJones.   

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