mardi 24 avril 2018


Mr CASTANER et LE VOILE DES FRANCAISES...





Commentaire :

C'est vrai, Mr CASTANER se trompe un peu : ce n'étaient pas nos mères, mais plutôt nos grands-mères, qui portaient le fichu : quoique dans nos pays du Nord, essentiellement, car au sud et à l'est, les femmes le font encore même aujourd'hui. Mais au Nord, on sait bien qu'on est à l'ouest... !  
J'ai plus de 60 ans (je pourrais être sa mère à lui, ou presque...) et notre génération se cassait déjà le nez dans la dépravation. Alors pour ce qui est de mettre un fichu fichu sur la tête, vous pensez bien...  

Mr CASTANER se trompe, c'est vrai, en disant que nos mères se couvraient la tête, si l'on veut s'en tenir aux moeurs de nos quelques pays du coeur de l'Europe, leaders en tout, surtout l'apostasie ; toutefois, dans le fond, il n'a pas tort, ce monsieur : il veut dire qu'il n'y a pas si longtemps de cela, elles le faisaient, et c'était normal. Pourquoi « pinailler » sur un détail secondaire, quand le coeur de la question n'est pas là ???

En effet, c'est pourtant bien clair et dans la video, et dans le texte écrit : la question ne portait pas sur comment s'habillaient les femmes autrefois, de nos mères à leurs grands-mères, ni sur la date ou la période du changement   - ce fameux changement tant prisé, dit-on, par les femmes d'aujourd'hui, qui cependant, semble-t-il, n'ont pas encore pris conscience des conséquences de sujétion plus grande encore à un despote bien plus odieux que nos traditions : le laid, l'hideux, l'impur, l'infâme, l'innommable, le méchant, le rude, l'arbitraire, qui leur impose l'endurcissement du coeur et l'abandon de la douceur et de la beauté purement féminine, de tout ce qui est spécifiquement féminin - pour leur imposer le disponible à tous et à tout, surtout aux désirs de l'homme, alors qu'elles tentent pitoyablement de dire « non » à toutes les obligations de dire « oui », qu'elles contribuent à instaurer contre elles-mêmes. Or, ces obligations viennent, en réalité, non pas seulement des femmes elles-mêmes à vouloir prétendumment se « libérer » de quelques excès d'autorité masculine envers elles, mais en réalité de l'incompétence des hommes de notre société à demeurer MASCULINS, de la lâcheté et de la paresse, de l'égoïsme et de l'infantilisme de la gente masculine qui ne veut plus être « responsable » de la femme, tout en ayant bien l'intention de continuer de la « consommer »...    

Les excès d'autorité incriminés pour induire cet état de fait, dus notamment, à travers l'histoire humaine, à l'ignorance et l'incompréhension de ce que sont, fondamentalement, les hommes et les femmes, n'ont toutefois pas caractérisé toutes les époques de la même manière, ni avec la même intensité ou le même rapport avantageux-désavantageux au femmes, ni ne l'ont toujours fait sans plus ou moins larges compensations, qui aujourd'hui ne sont malheureusement plus discernables pour les femmes, en raison de leur rejet des traditions, justement, et de leurs profonds enseignements. Cela vaut, à mon sens, pour nos société occidentales.

Quant aux combats menés pour que cessent les exactions graves perpétrées à travers le monde contre des femmes, ils gardent leur parfaite pertinence, mais ne sont pas légitimés exclusivement par une libération féminine  en opposition au pouvoir des hommes, mais fondamentalement, par une reconnaissance des droits humains de chacun, et du Combat qu'il est juste de mener contre toute exaction commise à l'encontre de tout être vivant, comme un tout dans le choix des puissants pour soit la Paix et le Bien dans le Monde, soit la tolérance du Mal, et les conséquences que celui-ci apporte quant à la qualité de vie de tous les êtres vivants de la Terre.   

Le véritable sujet religieux ne devrait pas y être remis en cause ni éradiqué, mais au contraire, rendu plus accessible à une COMPREHENSION UNIVERSELLE, à savoir, en lui redonnant toute sa véritable Dimension, qui alors amènera avec elle la compréhension IMMEDIATE des mouvements cosmiques de l'Univers au niveau humain, et avec cette compréhension et cette Connaissancce, le Désir intrinsèque de faire cesser le Mal, tandis qu'on comprend pourquoi il arrive, notamment lorsque la Religion nous enseignera ce que seuls les Initiés à l'ésotérisme, l'hermétisme, la Torah Orale et toutes les Traditions Anciennes connaissent, et notamment que dans la vie matérielle, chaque Ame, à chaque Renaissance dans ce Monde, le monde matériel, y revient tantôt homme, et tantôt femme. Le sujet religieux est essentiel à cette compréhension, il en est le coeur et le sujet-même. Alors, Mesdames, Messieurs, COMME ON FAIT SON LIT, ON SE COUCHE  -   et on s'y couchera tôt ou tard, une fois ou l'autre, dans une vie ou une autre. Si la Religion n'est plus là pour nous le dire, comment ferons-nous cesser le Mal ? Il ne cessera pas de lui-même, si nous l'encourageons par l'Ignorance.

Quoi qu'il en soit, dans la video et dans l'article, le coeur de la préoccupation de l'interrogatrice était de savoir si le voile rend la femme inférieure à l'homme (le foulard ou le fichu en analogie avec le voile). Ce à quoi Mr CASTANER  répond en projetant son interlocutrice une cinquantaine d'années en arrière, et fait valoir tout-à-fait justement et intelligemment qu'en ce temps-là, lorsqu'elle était encore largement en vigueur dans nos contrées, cette pratique vestimentaire n'avait pas d'incidence sur cette question. Et c'est totalement vrai.

D'ailleurs, la journaliste comprend si peu le sujet religieux, (qu'elle semble plutôt intéressée à démolir qu'à mieux appréhender), et elle connaît si peu la question qu'elle traite, justement, qu'elle n'est même pas en mesure de considérer que dans toutes les religions sauf dans le Christianisme (qui se trompe à cet égard), tous les hommes sont astreints à se couvrir la tête d'une manière ou d'une autre lors de la prière, voire dans la vie quotidienne courante. Ce serait trop long de lui expliquer pourquoi ici.

Etre "jeune" et mieux que les anciens est tellement ancré dans notre société, qu'aujourd'hui, suivant la mode imposée de rejeter toute tradition (et surtout de ne jamais essayer d'en comprendre aucune), on juge tout ce que l'on n'a pas soi-même connu comme étant ringard (au mieux), le plus souvent dommageable, offensif ou même nuisible à la liberté : une liberté  - surtout féminine -    qui à force de côtoyer les bas-fonds, est réduite aujourd'hui à une servitude crasse, à un asservissement bien plus implacable et contraire aux intérêt des femmes, qui les asservit bien plus sûrement que les traditions d'autrefois : car il s'attaque à leur NATURE, tout en faisant d'elles des objets de plaisir purement physique et avilissant : Plaisir de qui ??? des hommes, bien sûr... Satisfaction du maître incontourné, incontournable, seulement  déguisé en égal, en identique, devant lequel la femme, objet indignement utilisé, devenu servile, non seulement ne se défend pas, mais tisse de ses propres mains et de ses propres revendications, sa disgrâce et sa déchéance programmée, esquissée et entamée, qui entraînera, si elle n'y prend pas garde ni n'en renverse le cours, celle de l'humanité tout entière... car c'est de la femme, que dépend l'avenir et le sort de l'humanité...

Alors comme mieux pour tous, bonjour le progrès... ! Et en sus, parce que c'est toujours plus agréable comme ça, on leur fait croire que c'est elles qui le choisissent, et qu'en réalité, elles aiment toutes ça !...

Et Mme Emilie Dufresne - ou est-ce peut-être Mademoiselle ? car si vous n'avez jamais vu une femme avec un fichu sur la tête, vous devez être très jeune -  chère Mademoiselle, donc, appeler cette bévue un mensonge est plutôt ridicule, une réaction immodérée, qui sonne vraiment déplacés à la lecture du texte ; vous êtes outrée excessivement, et vous vous offusquez démesurément face à une petite erreur d'évaluation du temps, qui n'est que secondaire, en tous les cas, au centre de la question. Et la journaliste qui interroge Mr CASTANER  fait exactement de même, l'empêchant ainsi d'aller au bout de son raisonnement analogique, et faisant barrage au message qu'il entendait faire passer, vraisemblablement aussi insupportable à cette journaliste qu'à vous-même et aux commentateurs.

Aujourd'hui, les enfants de ces femmes qui se couvraient encore la tête ne savent tellement plus pourquoi elles le faisaient, parce que la tradition ne s'est pas transmise, justement, qu'ils trouvent des raisons naturelles qu'ils peuvent accepter, si incapables qu'ils sont d'accepter celles plus profondes liées au sujet religieux estimé, respecté. Peut-être leurs mères ne le savaient-elles déjà plus : mais cela ne fait ni enlever la raison dite « religieuse », ni la rendre impertinente en elle-même -  seulement incomprise parce qu'inconnue. Avec cela, indésirée, dénigrée, méprisée, délaissée puis écartée totalement, couverte d'opprobre de la part de ceux qui, ne la comprenant pas, décident de ne pas en tenter l'approche, comme la plupart des Ames dans notre Société en faillite.

Cette incapacité dans laquelle sont les jeunes d'aujourd'hui de tirer la substance utile d'un texte ou d'une parole, tout en laissant de côté les éventuels détails erronés qu'ils peuvent contenir ; cette manière qu'ont les parleurs de nos jours, (et surtout les journalistes), de chercher la petite bête sur un détail qui n'est pas pertinent pour le sens principal d'un message   - qui alors manquera forcément son but -  cette méthode journalistique de concentrer un pamphlet négatif sur un détail manqué pour circonscrire le débat dans des zones de conscience qui font appel aux émotions des lecteurs (le mépris en est une) au lieu de la réflexion   -     cette propension à concentrer le tir belliqueux sur un détail raté plus facile d'accès que le sens propre et profond du texte ou des paroles de celui qu'on considère comme un adversaire   -    cela me met mal à l'aise et m'empêche d'avoir le moindre plaisir à lire les journalistes d'aujourd'hui (je ne parle même pas de leur français...) .

Si la journaliste avait laissé  Mr CASTANER  s'exprimer au lieu de s'offusquer et de l'interrompre, il aurait pu développer et expliciter sa réponse, probablement dérangeante pour la journaliste et pour beaucoup, aussi elle a, semble-t-il, préféré faire mine de ne pas la comprendre, pour la démoilir par le biais d'un détail secondaire. Mais même sans s'y attarder de plus, cette réponse est complète telle quelle et COMMUNIQUE SA PERTINENCE.

Par ailleurs, la démarche de cette journaliste est inquiétante, car elle porte atteinte gravement à ce qu'elle prétend défendre : nos libertés, et il est bien évident dans ce petit extrait, qu'elle ne s'en rend même pas compte, ce qui est très dangereux et immédiatement dommageable.   (Je n'ai pas le temps de lire toutes les réactions, mais elle n'est pas seule concernée par cette haine de la liberté religieuse qui envahit notre société aujourd'hui.)  Le pire, c'est qu'elle le fait sous des prétextes et des prétentions de défendre, justement, la liberté, grande perdante dans cette attitude et dans toute cette démarche : en 1960, Jean-Paul Sartre pouvait encore dire  que « la liberté de chacun s'arrête là où commence celle des autres » et espérer être compris ; aujourd'hui, il ne sert à plus rien de le dire : on passe pour un idiot... un fou ou un débile est celui qui dit quelque chose que « je » ne comprends pas. « Ce ne saurait être moi, car « je » est toujours, à ses propres yeux, le plus intelligent... »

Bravo, la photo sous la vidéo : ce sont les années 50, par ailleurs...

Pour conclure, au lieu de critiquer sans connaissance une réponse pertinente à une question qui l'est de fait nettement moins, allez plutôt demander à un hindou portant le turban s'il se sent inférieur de devoir le porter. Il vous répondra certainement que ce n'est en tous cas pas un signe d' INFERIORITE, mais d'une certaine SUPERIORITE de statut : statut social, mais qui reflète un statut « cosmique », car le port du turban pour les hommes est une pratique tout autant religieuse que celle du voile pour la femme. Il touche donc toute l'humanité et le sujet religieux en général, dont notre société est bien la dernière compétente pour débattre pertinemment de ses thèmes, ayant rejeté tout ce qui en fait la substance. Et ceux qui y restent encore attachés (les leaders des religions) sont soit dans une déplorable ignorance eux-aussi, soit en possèdent une connaissance plus grande, mais qu'ils ne sont en tous les cas pas disposés à partager avec le monde, avec les petites âmes que nous sommes tous, la plupart d'entre nous, et qui avons cependant besoin de cette profonde connaissance pour accéder enfin à la paix dans le monde à laquelle nous aspirons, et que nous devons impérativement, en fait, CONSTRUIRE nous-mêmes, par nos propres efforts et notre propre volonté. Comment le ferons-nous, cependant, puisque cette Construction et notre Volonté pour l'entreprendre sont    TOTALEMENT  DEPENDANTES   de la Connaissance qui nous demeure cachée par ceux qui  savent... ? C'est pourquoi ils nous font un grand, un très grand tort...

Je ne m'étends cependant pas là-dessus, c'est trop long ici. Cependant, la VRAIE TRADITION est UNIVERSELLE, et dans sa réponse, vous aurez celle à la question du voile pour la femme, qui n'est en tous cas pas un signe de mépris envers elle, bien au contraire.



Mr CASTANER et LE VOILE DES FRANCAISES...

(Réponse à Mme Geneviève)

Chère Madame,

Pour pouvoir répondre à votre question, j'ai dû consulter l'internet et m'informer un peu plus avant de ce que sont et font exactement les théosophes. Rudolf Steiner, je connais un peu, bien sûr, mais tandis que j'avais déjà entendu le mot "théosophie", je n'avais jamais suffisamment creusé le sujet pour pouvoir dire "je suis théosophe". De plus, je n'ai pas encore eu le temps de lire Mme Blavatsky. Je n'avais jamais eu contact personnel avec son mouvement non plus. C'est maintenant chose faite, grâce à vous, à votre question, et en effet, j'ai découvert hier avoir une très étroite communion d'idées avec celui-ci.

Ceci pour vous dire que je ne suis pas une érudite, loin de là ; mais je suis une petite personne dont l'Ame a très soif de Vérité : or, qui la cherche vraiment finit toujours par franchir les frontières des nos ghettos immédiats... et ce faisant, ne peut éviter de se rendre compte que ces Religions qu'on nous prétend si différentes, sont en réalité la même, Une et Unique comme le Créateur. Elles sont comme une tapisserie éclairée, non dans sa totalité, mais par plusieurs spots dirigés chacun sur un endroit différent de l'Oeuvre, avec un éclairage particulier pour chacun et des niveaux dont les décalages, pourtant naturels, magnifiquement complémentaires, créent des apparences d'oppositions. Celles-ci sont des illusions d'optique, et seul notre cantonnement dans les zones de compréhension spirituelle restreintes, artificiellement circonscrites, de ces éclairages, nous empêchent de saisir la totalité cohérente du Tout, dont chacune des Religions fait partie, tandis qu'elle raconte son « petit-bout-de-Dieu »...

Attention, je parle ici de notre PERCEPTION : car tous les Religieux vous diront que   « leur »  Religion contient TOUT ! C'est on ne peut plus vrai, mais ce TOUT, dans aucune des Religions, ne nous est rendu accessible, en raison de l'action adverse de ce que personnellement j'appelle : LA FACTION D'IGNORANCE, qui a répandu sur toutes les Religions de tous les temps, mais surtout dans l'Ere Chrétienne, sa FORCE D'IGNORANCE, qui a créé ce qu'il est commun d'appeler aujourd'hui l' « ésotérisme », ou « hermétisme »    -    en réalité, le PLEIN DEPLOIEMENT DE LA CONNAISSANCE SACREE DES TEMPS ANTIQUES, que D.IEU avait l'intention de répandre sur toute la Terre et au bénéfice de tous, puisqu'Il l'a confiée à l'Homme, à Adam, à l'Aube de l'Humanité...

Dieu est contre l'ésotérisme claironnent les Chrétiens persuadés de mieux plaire à Dieu lorsqu'ils en savent à son sujet le moins possible. Oui, Dieu est contre l'ésotérisme, je le crie haut et fort : Il est contre l'ésotérisme, parce qu'il ne veut pas - c'est une offense envers Lui - que nous cachions les sublimes Vérités, que nous enterrions toute vivante la Sagesse Ancestrale...

A bon entendeur, Salut...

Que D.ieu nous aide.

Cordialement.

MMEJ.   
*** 

MEME  SUJET  : 



https://ns2017.wordpress.com/2016/06/14/alain-juppe-si-sa-maman-lentendait/   


(Réponse à l'auteur de l'article : ce commentaire n'a pas pu être publié sur la page de l'article, en raison d'un petit  problème à régler avec Wordpress, cependant, ce ne saurait tarder...)

Eh bien, mon cher Monsieur, si vous ne trouvez pas cela dans la Bible, il vous faudra consolider vos connaissance en lecture : si le Christ  - qui se couvrait la tête, parce qu'Il était PRETRE ESSENIEN -  n'en a pas parlé, c'est tout simplement que cette pratique tombait tellement sous le sens  - judaïque à l'époque comme aujourd'hui, la TSNIOUT -  qu'il n'y avait pas, alors, à le mentionner. Paul a dû, par contre, le dire et le rappeler.  Peut-être parce dès qu'on parle de GRACE et de LIBERTE, les valeurs passent très vite à la trappe, et l'être humain est toujours tout prêt à s'engouffrer dans les chemins de la paresse et de l'endormissement de la Conscience  -  l'ajout de l'ignorance en sus...   

Il n'y a pas de geste ni de pratique plus religieuse que celle de se couvrir la tête  -  à part chez les Chrétiens, qui portent le galurin pour ne pas avoir froid. Les prêtres, eux, vivaient la tête couverte, les Esséniens comme les Pharisiens. Avez-vous remarqué que les consacré de la seule Religion qui ne se couvrent pas la tête, les Bouddhistes, hommes ET femmes, SE  LA RASENT ?  Demandez-vous POURQUOI...  Et relisez Paul pour trouver entre toutes ces traditions qu'on dit pourtant DIFFERENTES, LA  SAINE COHERENCE RELIGIEUSE UNIVERSELLE...       

Et si vous me permettez de vous le dire tout-à-fait gentiment, attendez de le savoir pour rempiler contre le voile, islamique, juif ou chrétien, et dire, je le crains, de très, très grosses bêtises...   

Très cordialement tout-de-même, en tous les cas,  

MMEJones.   

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