Mr
CASTANER et LE VOILE DES FRANCAISES...
Commentaire :
C'est vrai, Mr CASTANER se trompe
un peu : ce n'étaient pas nos mères, mais plutôt nos
grands-mères, qui portaient le fichu : quoique dans nos pays
du Nord, essentiellement, car au sud et à l'est, les femmes le font
encore même aujourd'hui. Mais au Nord, on sait bien qu'on est à
l'ouest... !
J'ai plus de 60 ans (je
pourrais être sa mère à lui, ou presque...) et notre
génération se cassait déjà le nez dans la dépravation. Alors
pour ce qui est de mettre un fichu fichu sur la tête, vous pensez
bien...
Mr
CASTANER se trompe, c'est vrai, en disant que nos mères se couvraient
la tête, si l'on veut s'en tenir aux moeurs de nos quelques pays
du coeur de l'Europe, leaders en tout, surtout l'apostasie ;
toutefois, dans le fond, il n'a pas tort, ce monsieur : il veut dire
qu'il n'y a pas si longtemps de
cela, elles le faisaient, et c'était normal. Pourquoi « pinailler »
sur un détail secondaire, quand le coeur de la question n'est pas
là ???
En
effet, c'est pourtant bien clair et dans la video, et dans le texte
écrit : la question ne portait pas sur comment s'habillaient
les femmes autrefois, de nos mères à leurs grands-mères, ni sur la
date ou la période du changement - ce fameux changement tant
prisé, dit-on, par les femmes d'aujourd'hui, qui cependant,
semble-t-il, n'ont pas encore pris conscience des conséquences de
sujétion plus grande encore à un despote bien plus odieux que nos
traditions : le laid, l'hideux, l'impur, l'infâme,
l'innommable, le méchant, le rude, l'arbitraire, qui leur impose
l'endurcissement du coeur et l'abandon de la douceur et de la beauté
purement féminine, de tout ce qui est spécifiquement féminin -
pour leur imposer le disponible à tous et à tout, surtout aux
désirs de l'homme, alors qu'elles tentent pitoyablement de dire
« non » à toutes les obligations de dire « oui »,
qu'elles contribuent à instaurer contre elles-mêmes. Or,
ces obligations viennent, en réalité, non pas seulement des femmes
elles-mêmes à vouloir prétendumment se « libérer »
de quelques excès d'autorité masculine
envers elles, mais en réalité de l'incompétence des hommes de
notre société à demeurer MASCULINS, de la lâcheté et de la
paresse, de l'égoïsme et de l'infantilisme de la
gente masculine qui ne veut plus être « responsable »
de la femme, tout en ayant bien l'intention de continuer de la
« consommer »...
Les excès d'autorité incriminés pour induire cet état de fait,
dus notamment, à travers l'histoire humaine, à l'ignorance et
l'incompréhension de ce que sont, fondamentalement, les hommes et
les femmes, n'ont toutefois pas caractérisé toutes les époques de
la même manière, ni avec la même intensité ou le même rapport
avantageux-désavantageux au femmes, ni ne l'ont toujours fait sans
plus ou moins larges compensations, qui aujourd'hui ne sont
malheureusement plus discernables pour les femmes, en raison de leur
rejet des traditions, justement, et de leurs profonds enseignements.
Cela vaut, à mon sens, pour nos société occidentales.
Quant
aux combats menés pour que cessent les exactions graves perpétrées
à travers le monde contre des femmes, ils gardent leur parfaite
pertinence, mais ne sont pas légitimés exclusivement par une
libération féminine en opposition au pouvoir des hommes, mais fondamentalement, par une
reconnaissance des droits humains de chacun, et du Combat qu'il est
juste de mener contre toute exaction commise à l'encontre de tout
être vivant, comme un tout dans le choix des puissants pour soit la
Paix et le Bien dans le Monde, soit la tolérance du Mal, et les
conséquences que celui-ci apporte quant à la qualité de vie de
tous les êtres vivants de la Terre.
Le véritable sujet religieux
ne devrait pas y être remis en cause ni éradiqué, mais au
contraire, rendu plus accessible à une COMPREHENSION
UNIVERSELLE,
à savoir, en lui redonnant toute sa véritable Dimension, qui alors
amènera avec elle la compréhension IMMEDIATE des mouvements
cosmiques de l'Univers au niveau humain, et avec cette compréhension
et cette Connaissancce, le Désir intrinsèque de faire cesser le
Mal, tandis qu'on comprend pourquoi il arrive, notamment lorsque la
Religion nous enseignera ce que seuls les Initiés à l'ésotérisme,
l'hermétisme, la Torah Orale et toutes les Traditions Anciennes
connaissent, et notamment que dans
la vie matérielle, chaque Ame, à chaque Renaissance dans ce Monde,
le monde matériel, y revient tantôt homme, et tantôt femme.
Le sujet religieux est essentiel à cette compréhension, il en est
le coeur et le sujet-même. Alors, Mesdames, Messieurs, COMME
ON FAIT SON LIT, ON SE COUCHE - et on s'y couchera tôt ou tard, une fois ou l'autre, dans une
vie ou une autre. Si la Religion n'est plus là pour nous le dire,
comment ferons-nous cesser le Mal ? Il ne cessera pas de
lui-même, si nous l'encourageons par l'Ignorance.
Quoi
qu'il en soit, dans la video et dans l'article, le coeur de la
préoccupation de l'interrogatrice était de savoir si
le voile rend la femme inférieure à l'homme (le
foulard ou le fichu en analogie avec le voile). Ce à quoi Mr
CASTANER répond en projetant son interlocutrice une cinquantaine
d'années en arrière, et fait valoir tout-à-fait justement et
intelligemment qu'en ce temps-là, lorsqu'elle était encore
largement en vigueur dans nos contrées, cette pratique vestimentaire
n'avait pas d'incidence sur cette question. Et c'est totalement
vrai.
D'ailleurs,
la journaliste comprend si peu le sujet religieux, (qu'elle semble
plutôt intéressée à démolir qu'à mieux appréhender), et elle connaît
si peu la question qu'elle traite, justement, qu'elle n'est même pas
en mesure de considérer que dans toutes les religions sauf dans le
Christianisme (qui se trompe à cet égard), tous les hommes sont
astreints à se couvrir la tête d'une manière ou d'une autre lors
de la prière, voire dans la vie quotidienne courante. Ce serait trop
long de lui expliquer pourquoi ici.
Etre
"jeune" et mieux que les anciens est tellement ancré
dans notre société, qu'aujourd'hui, suivant la mode imposée
de rejeter toute tradition (et surtout de ne jamais essayer d'en
comprendre aucune), on juge tout ce que l'on n'a pas soi-même connu
comme étant ringard (au mieux), le plus souvent dommageable,
offensif ou même nuisible à la liberté : une liberté - surtout
féminine - qui à force de côtoyer les bas-fonds, est réduite
aujourd'hui à une servitude crasse, à un asservissement bien plus
implacable et contraire aux intérêt des femmes, qui les asservit
bien plus sûrement que les traditions d'autrefois : car il
s'attaque à leur NATURE, tout en faisant d'elles des objets de
plaisir purement physique et avilissant : Plaisir de qui ???
des hommes, bien sûr... Satisfaction du maître incontourné,
incontournable, seulement déguisé en égal, en identique, devant
lequel la femme, objet indignement utilisé, devenu servile, non
seulement ne se défend pas, mais tisse de ses propres mains et de
ses propres revendications, sa disgrâce et sa déchéance
programmée, esquissée et entamée, qui entraînera, si elle n'y
prend pas garde ni n'en renverse le cours, celle de l'humanité tout
entière... car c'est de la femme, que dépend l'avenir et le sort
de l'humanité...
Alors
comme mieux pour tous, bonjour le progrès... ! Et en sus,
parce que c'est toujours plus agréable comme ça, on leur fait
croire que c'est elles qui le choisissent, et qu'en réalité, elles
aiment toutes ça !...
Et Mme
Emilie Dufresne - ou est-ce peut-être Mademoiselle ? car si
vous n'avez jamais vu une femme avec un fichu sur la tête, vous
devez être très jeune - chère Mademoiselle, donc, appeler
cette bévue un mensonge est plutôt ridicule, une réaction
immodérée, qui sonne vraiment déplacés à la lecture du texte ;
vous êtes outrée excessivement, et vous vous offusquez
démesurément face à une petite erreur d'évaluation du temps, qui
n'est que secondaire, en tous les cas, au centre de la question. Et
la journaliste qui interroge Mr CASTANER fait exactement de même,
l'empêchant ainsi d'aller au bout de son raisonnement analogique, et
faisant barrage au message qu'il entendait faire passer,
vraisemblablement aussi insupportable à cette journaliste qu'à
vous-même et aux commentateurs.
Aujourd'hui,
les enfants de ces femmes qui se couvraient encore la tête ne savent
tellement plus pourquoi elles le faisaient, parce que la tradition
ne s'est pas transmise, justement, qu'ils trouvent des raisons
naturelles qu'ils peuvent accepter, si incapables qu'ils sont
d'accepter celles plus profondes liées au sujet religieux estimé,
respecté. Peut-être leurs mères ne le savaient-elles déjà plus :
mais cela ne fait ni enlever la raison dite « religieuse »,
ni la rendre impertinente en elle-même - seulement incomprise
parce qu'inconnue. Avec cela, indésirée, dénigrée, méprisée,
délaissée puis écartée totalement, couverte d'opprobre de la part
de ceux qui, ne la comprenant pas, décident de ne pas en tenter
l'approche, comme la plupart des Ames dans notre Société en
faillite.
Cette
incapacité dans laquelle sont les jeunes d'aujourd'hui de tirer la
substance utile d'un texte ou d'une parole, tout en laissant de côté
les éventuels détails erronés qu'ils peuvent contenir ;
cette manière qu'ont les parleurs de nos jours, (et surtout les
journalistes), de chercher la petite bête sur un détail qui n'est
pas pertinent pour le sens principal d'un message - qui alors
manquera forcément son but - cette méthode journalistique de
concentrer un pamphlet négatif sur un détail manqué pour
circonscrire le débat dans des zones de conscience qui font appel
aux émotions des lecteurs (le mépris en est une) au lieu de la
réflexion - cette propension à concentrer le tir belliqueux sur
un détail raté plus facile d'accès que le sens propre et profond
du texte ou des paroles de celui qu'on considère comme un
adversaire - cela me met mal à l'aise et m'empêche d'avoir le
moindre plaisir à lire les journalistes d'aujourd'hui (je ne parle
même pas de leur français...) .
Si
la journaliste avait laissé Mr CASTANER s'exprimer au lieu de
s'offusquer et de l'interrompre, il aurait pu développer et
expliciter sa réponse, probablement dérangeante pour la journaliste
et pour beaucoup, aussi elle a, semble-t-il, préféré faire mine
de ne pas la comprendre, pour la démoilir par le biais d'un détail
secondaire. Mais même sans s'y attarder de plus, cette réponse est
complète telle quelle et COMMUNIQUE SA PERTINENCE.
Par
ailleurs, la démarche de cette journaliste est inquiétante, car
elle porte atteinte gravement à ce qu'elle prétend défendre :
nos libertés, et il est bien évident dans ce petit extrait,
qu'elle ne s'en rend même pas compte, ce qui est très dangereux et
immédiatement dommageable. (Je n'ai pas le temps de lire toutes les
réactions, mais elle n'est pas seule concernée par cette haine de
la liberté religieuse qui envahit notre société aujourd'hui.) Le
pire, c'est qu'elle le fait sous des prétextes et des prétentions
de défendre, justement, la liberté, grande perdante dans cette
attitude et dans toute cette démarche : en 1960, Jean-Paul
Sartre pouvait encore dire que « la liberté de chacun
s'arrête là où commence celle des autres » et espérer être
compris ; aujourd'hui, il ne sert à plus rien de le dire :
on passe pour un idiot... un fou ou un débile est celui qui dit
quelque chose que « je » ne comprends pas. « Ce
ne saurait être moi, car « je » est toujours, à ses
propres yeux, le plus intelligent... »
Bravo,
la photo sous la vidéo : ce sont les années 50, par
ailleurs...
Pour
conclure, au lieu de critiquer sans connaissance une réponse
pertinente à une question qui l'est de fait nettement moins, allez
plutôt demander à un hindou portant le turban s'il se sent
inférieur de devoir le porter. Il vous répondra certainement que ce
n'est en tous cas pas un signe d' INFERIORITE, mais d'une certaine
SUPERIORITE de statut : statut social, mais qui reflète un
statut « cosmique », car le port du turban pour les
hommes est une pratique tout autant religieuse que celle du voile
pour la femme. Il touche donc toute l'humanité et le sujet religieux
en général, dont notre société est bien la dernière compétente
pour débattre pertinemment de ses thèmes, ayant rejeté tout ce qui
en fait la substance. Et ceux qui y restent encore attachés (les
leaders des religions) sont soit dans une déplorable ignorance
eux-aussi, soit en possèdent une connaissance plus grande, mais
qu'ils ne sont en tous les cas pas disposés à partager avec le
monde, avec les petites âmes que nous sommes tous, la plupart
d'entre nous, et qui avons cependant besoin de cette profonde
connaissance pour accéder enfin à la paix dans le monde à laquelle
nous aspirons, et que nous devons impérativement, en fait,
CONSTRUIRE nous-mêmes, par nos propres efforts et notre propre
volonté. Comment le ferons-nous, cependant, puisque cette
Construction et notre Volonté pour l'entreprendre sont TOTALEMENT DEPENDANTES de la Connaissance qui nous demeure cachée
par ceux qui savent... ?
C'est pourquoi ils nous font un grand, un très grand tort...
Je
ne m'étends cependant pas là-dessus, c'est trop long ici.
Cependant, la VRAIE TRADITION est UNIVERSELLE, et dans sa
réponse, vous aurez celle à la question du voile pour la femme, qui
n'est en tous cas pas un signe de mépris envers elle, bien au
contraire.
Mr
CASTANER et LE VOILE DES FRANCAISES...
(Réponse
à Mme Geneviève)
Chère
Madame,
Pour
pouvoir répondre à votre question, j'ai dû consulter l'internet et
m'informer un peu plus avant de ce que sont et font exactement les
théosophes. Rudolf Steiner, je connais un peu, bien sûr, mais
tandis que j'avais déjà entendu le mot "théosophie", je
n'avais jamais suffisamment creusé le sujet pour pouvoir dire "je
suis théosophe". De plus, je n'ai pas encore eu le temps de
lire Mme Blavatsky. Je n'avais jamais eu contact personnel avec son
mouvement non plus. C'est maintenant chose faite, grâce à vous, à
votre question, et en effet, j'ai découvert hier avoir une très
étroite communion d'idées avec celui-ci.
Ceci
pour vous dire que je ne suis pas une érudite, loin de là ;
mais je suis une petite personne dont l'Ame a très soif de Vérité :
or, qui la cherche vraiment finit toujours par franchir les
frontières des nos ghettos immédiats... et ce faisant, ne peut
éviter de se rendre compte que ces Religions qu'on nous prétend si
différentes, sont en réalité la même, Une et Unique comme le
Créateur. Elles sont comme une tapisserie éclairée, non dans sa
totalité, mais par plusieurs spots dirigés chacun sur un endroit
différent de l'Oeuvre, avec un éclairage particulier pour chacun et
des niveaux dont les décalages, pourtant naturels, magnifiquement
complémentaires, créent des apparences d'oppositions. Celles-ci
sont des illusions d'optique, et seul notre cantonnement dans les
zones de compréhension spirituelle restreintes, artificiellement
circonscrites, de ces éclairages, nous empêchent de saisir la
totalité cohérente du Tout, dont chacune des Religions fait partie,
tandis qu'elle raconte son « petit-bout-de-Dieu »...
Attention,
je parle ici de notre PERCEPTION : car tous les Religieux vous
diront que « leur » Religion contient TOUT !
C'est on ne peut plus vrai, mais ce TOUT, dans aucune des Religions,
ne nous est rendu accessible, en raison de l'action adverse de ce que
personnellement j'appelle : LA FACTION D'IGNORANCE, qui a
répandu sur toutes les Religions de tous les temps, mais surtout
dans l'Ere Chrétienne, sa FORCE D'IGNORANCE, qui a créé ce
qu'il est commun d'appeler aujourd'hui l' « ésotérisme »,
ou « hermétisme » - en réalité, le PLEIN
DEPLOIEMENT DE LA CONNAISSANCE SACREE DES TEMPS ANTIQUES, que D.IEU
avait l'intention de répandre sur toute la Terre et au bénéfice de
tous, puisqu'Il l'a confiée à l'Homme, à Adam, à l'Aube de
l'Humanité...
Dieu
est contre l'ésotérisme claironnent les Chrétiens persuadés de
mieux plaire à Dieu lorsqu'ils en savent à son sujet le moins
possible. Oui, Dieu est contre l'ésotérisme, je le crie haut et
fort : Il est contre l'ésotérisme, parce qu'il ne veut pas -
c'est une offense envers Lui - que nous cachions les sublimes
Vérités, que nous enterrions toute vivante la Sagesse
Ancestrale...
A
bon entendeur, Salut...
Que
D.ieu nous aide.
Cordialement.
MMEJ.
***
MEME SUJET :
https://ns2017.wordpress.com/2016/06/14/alain-juppe-si-sa-maman-lentendait/
(Réponse à l'auteur de l'article : ce commentaire n'a pas pu être publié sur la page de l'article, en raison d'un petit problème à régler avec Wordpress, cependant, ce ne saurait tarder...)
Eh bien, mon cher Monsieur, si vous ne trouvez pas cela dans la Bible, il vous faudra consolider vos connaissance en lecture : si le Christ - qui se couvrait la tête, parce qu'Il était PRETRE ESSENIEN - n'en a pas parlé, c'est tout simplement que cette pratique tombait tellement sous le sens - judaïque à l'époque comme aujourd'hui, la TSNIOUT - qu'il n'y avait pas, alors, à le mentionner. Paul a dû, par contre, le dire et le rappeler. Peut-être parce dès qu'on parle de GRACE et de LIBERTE, les valeurs passent très vite à la trappe, et l'être humain est toujours tout prêt à s'engouffrer dans les chemins de la paresse et de l'endormissement de la Conscience - l'ajout de l'ignorance en sus...
Il n'y a pas de geste ni de pratique plus religieuse que celle de se couvrir la tête - à part chez les Chrétiens, qui portent le galurin pour ne pas avoir froid. Les prêtres, eux, vivaient la tête couverte, les Esséniens comme les Pharisiens. Avez-vous remarqué que les consacré de la seule Religion qui ne se couvrent pas la tête, les Bouddhistes, hommes ET femmes, SE LA RASENT ? Demandez-vous POURQUOI... Et relisez Paul pour trouver entre toutes ces traditions qu'on dit pourtant DIFFERENTES, LA SAINE COHERENCE RELIGIEUSE UNIVERSELLE...
Et si vous me permettez de vous le dire tout-à-fait gentiment, attendez de le savoir pour rempiler contre le voile, islamique, juif ou chrétien, et dire, je le crains, de très, très grosses bêtises...
Très cordialement tout-de-même, en tous les cas,
MMEJones.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire